samedi 28 mars 2009

Calvin : 1509 - 2009 (3)

Le sire d’Espeville

En 1533, l’année académique de l’université parisienne débute le 1er novembre par la leçon d’ouverture du nouveau recteur Nicolas Cop, un bâlois, ami de Calvin. Au lieu du discours traditionnel, Cop, sur le conseil de Calvin, choisit de commenter les béatitudes, qu’il relit à la lumière de la doctrine de la justification par la foi, la doctrine clé de Martin Luther. Le discours provoque de fortes réactions dans le milieu intellectuel parisien. La Sorbonne s’insurge et crie à l’hérésie luthérienne, alors que les facultés de médecine et des arts prennent la défense du recteur. Cop dénoncé, doit s’échapper. Calvin réussit quant à lui, avec l’aide de quelques amis, à quitter le collège Fortet où il loge par la fenêtre. Le fugitif trouve asile à Angoulême chez son ami, le chanoine du Tillet. Pendant plusieurs mois, il disparaît de la scène et change de nom : l’érudit Jean Calvin est devenu le sire d’Espeville.

Marguerite de Navarre

Si le milieu intellectuel parisien est en émoi, d’autres figures sont gagnées aux doctrines de Luther. C’est le cas de Marguerite de Navarre, la sœur du roi François 1er. Elle-même va faire paraître en ce temps un ouvrage intitulé ‘Miroir de l’âme pécheresse ", que la Sorbonne ne mettra pas longtemps à censurer. En avril 1534, Calvin se montre à la cour de la reine, qui restera par la suite sa correspondante, sans jamais cependant se déclarer ouvertement évangélique.


L’affaire des Placards

En 1534 éclate l’affaire des Placards. Dans la nuit du 17 octobre, des placards sont affichés dans les rues de Paris, et jusque dans la résidence du souverain. Ils dénoncent les " horribles grands et insupportables abus de la messe papale, inventée directement contre la sainte Cène de Jésus-Christ. " L’auteur de la provocation est Antoine Marcourt, picard comme Calvin, mais exilé à Neuchâtel, où il est prédicateur. A la provocation, la France traditionnaliste répond en janvier 1535 par une procession expiatoire à laquelle participe le souverain, pieds nus, cierge en main, suivi de la Cour et de ses dignitaires. Les six étapes du parcours sont marquées par six bûchers où sont brûlées autant de victimes. L’affaire des placards va être le déclencheur du choix radical de François 1er pour le catholicisme. Alors que les mises à mort et les bûchers se multiplient, Calvin quitte la France en compagnie de son ami Du Tillet pour se réfugier quelques temps à Strasbourg, puis à Bâle.

Bâle

Protestante comme une grande partie du nord-est de la Suisse, Bâle est devenue une ville refuge pour les persécutés de toute l’Europe. Fière de sa tolérance, Bâle n’est pas seulement un asile pour exilés. C’est aussi un centre de haute culture, où les imprimeurs éditent à tour de bras bibles et traités. Le premier travail dans lequel le jeune Calvin s’engage est significatif : il s’agit de réviser et de présenter la traduction française de la Bible que son cousin Olivétan, aussi originaire de Noyon, est en train de terminer pour le compte des Vaudois du Piémont. Elle sera imprimée en 1535 par Pierre de Vingle, imprimeur également des célèbres placards rédigés par Antoine Marcourt.

Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus

samedi 21 mars 2009

Questions à Dieu





Le chêne liège

Dans " le chêne liège ", l’un de ses derniers chants, Francis Cabrel, chanteur à texte, exprime les questions qui sont les siennes et, sans doute, celles de bon nombre de nos contemporains, face à " l’Inconnu " que représente Dieu et le tâtonnement auquel doit se livrer tout chercheur honnête de certitudes à son sujet.

Reprenons quelques-unes des questions de Cabrel pour essayer d’y apporter des réponses !

Que sais-je ?

Adossé à un chêne liège,
Je descendais quelques arpèges
En priant Dieu, Bouddha, que sais-je,
Est-ce que tu penses à nous un peu ?

Pour un bon nombre de nos contemporains, semble-t-il, ce n’est pas tant l’existence de Dieu qui pose problème, que la difficulté de l’identifier ! Qui est Dieu ? Sous quels traits se présente-t-il ? Sous quel visage est-il possible de Le connaître ?

La question de Cabrel est légitime ! Elle a en tout cas le mérite de mettre le doigt sur un élément essentiel de communication. Si Dieu existe, comment ce Dieu qui, par définition, nous surpasse en tout, peut-il être connu de personnes comme nous, limitées dans un corps physique équipé de 5 sens ? Un principe, utilisé par Francis Cabrel lui-même, pour nous faire écouter ses compositions, va nous aider à trouver la réponse.

Plus que jamais, nous le savons, nous vivons dans un monde de communication. Si, dans le passé, la communication se limitait à la parole et à l’écrit, les technologies modernes, par la création de nouveaux médias, en a multiplié les moyens. Remarquons seulement que si le média véhicule l’information, il ne l’est pas lui-même. Il est juste le porteur de l’information qui, pourrait-on dire, l’habite tout entier. Une autre vertu du média, sans doute la plus appréciée des utilisateurs d’Internet, est la capacité qu’il a de mettre littéralement en contact des personnes entre elles, sans que ni l’une, ni l’autre n’a à se déplacer. Le média, du latin médium, est un intermédiaire.

La leçon que nous enseigne le média est que, depuis toujours, il existe des moyens pour que ce qui n’est pas audible ou visible puisse le devenir. La parole, média universel, en est l’exemple type. Tant que je ne parle pas, personne autour de moi, ne sait ce que je pense. Mais que je vienne à parler et, aussitôt, c’est tout un monde caché, secret, inaccessible qui s’ouvre. La parole, média de la pensée, est la clé qui a ouvert l’accès vers l’extérieur à ce monde intérieur fermé.

Créé à l’image de Dieu, nous ne fonctionnons pas autrement que Lui. Aussi, est-il impossible de connaître Dieu sans que celui-ci se révèle à nous au moyen d’un Média, porteur de toutes les informations et les données dont nous avons besoin pour cela. Deux Médias précis, parmi d’autres plus vagues, éprouvés depuis des siècles, confirmés par ceux qui se sont mis à leur écoute, nous ouvrent l’accès à la connaissance de Dieu !

Les deux Médias de Dieu

Le premier est un Livre qui a traversé les siècles. Il a pour nom " l’Ecriture. " Il est le Média qui rend témoignage de tout ce que Dieu est et a fait dans le temps et dans l’histoire. Il décrit le passé, mais annonce aussi l’avenir jusqu’à la consommation des temps. Ecrit sur une période de 15 siècles par environ 40 auteurs différents, il a été au cours du temps le Livre le plus aimé, le plus haï, le plus interdit, le plus répandu, le plus confisqué, le plus traduit. Il est encore aujourd’hui largement en tête des best-sellers de tous les temps. Ce Livre, c’est la Bible. Dans la rubrique qui porte ce nom, vous pouvez vous documenter sur les preuves internes et externes de la crédibilité de ce livre !

Le second est une Personne. Elle est désignée par le premier média comme " la Parole faite chair ". Cette personne est connue dans l’histoire sous le nom de Jésus-Christ. Par Jésus-Christ, Dieu, dit la Bible, s’est manifesté à nous de façon physique. Il a quitté l’éternité pour entrer dans le temps. Il a quitté la condition divine pour revêtir la condition humaine. Par Lui, l’inaccessible est devenu palpable, audible, visible. Bien qu’enfermé dans les limites de nos cinq sens, les preuves de l’identité réelle et cachée de l’homme Jésus apparaisse constamment. Son autorité sur les lois et les forces de la nature, Sa connaissance immédiate des pensées humaines, la puissance de guérison, de libération, de résurrection dont il fait preuve : tout est là pour attester de ce qu’Il est. Sa naissance, sa vie, sa mort suivie de sa résurrection signent de manière irréfutable le témoignage rendu par ses proches à son sujet.

La Bible donnée, Jésus-Christ venu, il n’est plus possible de poser l’interrogation " Que sais-je ? " au sujet de Dieu. Mais d’autres questions sont posées dans le chant de Francis Cabrel. Nous prendrons le temps de les évoquer lors de prochains billets !


Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus

samedi 14 mars 2009

Le monde sous l'Antichrist

Le 2ème niveau de la colère de Dieu

Nous avons vu dans le billet précédent en quoi consistait le 2ème niveau de la colère de Dieu. Ayant rejeté Jésus, le Sauveur que Dieu lui a envoyé, le monde va donner son allégeance à celui qui est, à la fois son imitation diabolique et son adversaire, l’Antichrist. Quand, comment se fera la montée de ce dominateur universel ? La Bible, certes, ne nous donne pas de calendrier détaillé des événements qui vont se produire et précipiter le jugement du monde. Mais Jésus a dit qu’il nous serait possible de reconnaître les signes des temps. Nous croyons ainsi que plusieurs de ces signes sont là indiquant un scénario possible d’événements tendant à la réalisation des prophéties.

Conditions préalables :

1. L’accueil d’un homme comme le sauveur du monde présuppose obligatoirement que le monde se trouve à ce moment-là dans un tel état de chaos, d’angoisse et d’incertitudes, que ce sauveur apparaisse comme l’unique espoir, la bonne nouvelle tant attendue. Alors que la crise financière bat son plein, nous avons vu avec quelle ferveur a été accueillie, aux Etats-Unis et partout dans le monde, l’élection de Barak Obama. Cette ferveur valide l’idée que, assez facilement, le monde peut, en état de crise, donner allégeance au premier venu qui, par son message et sa personne, représente l’avenir.

2. L’accès d’un homme à la tête d’un gouvernement mondial présuppose que les structures rendant possible l’exercice de ce gouvernement aient été posées. Or, nous assistons depuis peu à une accélération du processus rendant possible un tel état de fait. Partout, de nouvelles unions voient le jour, transférant de plus en plus la souveraineté des nations vers des organismes fédérateurs nouveaux. Le Nouvel Ordre Mondial n’est pas qu’une utopie. C’est un projet auquel de plus en plus de dirigeants de tous bords adhérent. N’est-il pas l’occasion enfin donnée, et tant recherchée pour le monde, d’accéder à la paix universelle ? Bien des politologues le pensent !

3. L’accès d’un homme à la tête d’un gouvernement mondial présuppose la fusion des systèmes économiques et financiers en un seul sous le contrôle d’une seule autorité. La nationalisation progressive des banques sous l'effet de la crise et l'obligation de levée du secret bancaire aux pays abritant des paradis fiscaux pourraient bien en être un préliminaire. La Bible, toujours en avance sur son temps, décrit de manière précise la façon avec laquelle se feront ventes et achats au temps de la suprématie de l’Antichrist : " La Bête fit qu’on impose à tous, petits et grand, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, une marque sur la main droite ou sur le front, et que personne ne puisse plus acheter ni vendre sans avoir la marque, le nom de la bête ou le chiffre de son nom (666). " Cette idée d’un système économique mondial numérique, émise il y a près de 20 siècles, était totalement utopique à l’époque. Elle est parfaitement concevable à la nôtre, comme en témoignent de nombreux analystes politiques

3. l’accès d’un homme, perçu comme un sauveur, à la tête d’un gouvernement mondial, impose la nécessité d’une assimilation des systèmes religieux en un seul qui répond aux attentes de tous. Il est remarquable, à ce sujet, de noter, en ces temps de crise, la ferveur de l’attente en chaque religion de la venue d’un maître ou messie venant établir l’ordre et la paix universelle. Les juifs, n’ayant pas reconnu Jésus attendent toujours leur Messie. Les musulmans attendent la venue du Mahdi. Les partisans du Nouvel Age et du bouddhisme soupirent après l’avènement de Maitreya ; les chrétiens croient au retour du Christ… N’y a-t-il pas là, en des temps troublés, un terrain propice à la séduction et à la supercherie ?

"Par le concours de Satan, dit l'apôtre Paul, l'avènement de cet homme sera accompagné d'un déploiement de puissance, de toutes sortes de signes et de miracles prodigieux destinés à accréditer son mensonge. Il usera de tout le pouvoir séducteur du mal et de toutes les tromperies que le péché prodigue à ceux qui se perdent. Dans ces pièges tomberont ceux qui n'ont pas voulu ouvrir leur coeur à l'amour de la vérité qui devait les conduire au salut. Voilà pourquoi Dieu fait passer sur eux cette puissance d'égarement qui les pousse à donner leur adhésion au mensonge."

Obstacles :

Nous n’irons pas plus loin dans la spéculation. Deux entités semblent cependant freiner et entraver la pleine réalisation du projet diabolique. La première s’appelle l’Eglise. Pour tout disciple de Jésus-Christ, il est impossible de considérer un autre être à la même hauteur que Lui. Jésus est unique. Les chrétiens croient avec l’apôtre Pierre qu’il n’y a sous le ciel aucun autre nom que celui de Jésus, donné aux hommes pour qu’ils soient sauvés. Tant que l’Eglise de Jésus-Christ sera là, le confessant comme Seigneur, elle sera une force de résistance et de préservation du monde. La seconde est Israël, peuple élu de Dieu, choisi dès l’origine par Lui pour manifester au monde qu’Il est le Dieu unique !

Jésus a comparé la période finale de l’histoire aux douleurs de l’enfantement. Non ! L’Antichrist et Satan n’auront pas le dernier mot. Celui-ci reviendra à Dieu et à son Christ, Jésus. Des temps douloureux de la fin naîtront un monde nouveau, de nouveaux cieux, une nouvelle terre, le royaume de Dieu dans lequel Dieu vivra au milieu des Siens. En attendant, comme il en est pour un accouchement, les douleurs de plus en plus fortes et de en plus rapprochées, annonçant la fin du système présent, se feront sentir. Bien d’autres menaces, telles la menace nucléaire, celle d’une pandémie mondiale ou de catastrophes écologiques sensationnelles, peuvent accélérer le mouvement de l’histoire vers sa fin : le 3ème niveau de la colère de Dieu !

Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus

samedi 7 mars 2009

La colère de Dieu : 2ème niveau

Proposition de contrat

Au temps où Jésus n’était encore qu’un inconnu, l’Evangile nous rapporte les détails d’une rencontre secrète et privée qui se passa dans le désert. Là, alors que personne ne se doutait de la carrière fabuleuse que Jésus allait avoir dans la suite de l’histoire, quelqu’un, qui avait discerné de quelle trempe était cet homme, lui fit une proposition incroyable. Ce " quelqu’un " conduisit Jésus au sommet d’une haute montagne et, en un instant, il lui montra tous les royaumes de la terre habitée. Puis, il lui dit, avec un culot incroyable : " Je te donnerai toute l’autorité et la gloire de ces royaumes ! Car elle m’a été livrée, et je la donne à qui je veux !" Proposition de contrat stupéfiante, à laquelle, cependant, toujours avec le même culot, ce " quelqu’un " fit suspendre l’exécution à une seule condition : " Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à toi ! "

Le Prince de ce monde

Ce " quelqu’un ", vous l’aurez compris, n’est pas un homme ! Il est celui que, dès ses premières pages, la Bible présente sous les noms de Satan ou du diable. Du récit des Evangiles, et de cette rencontre privée avec Jésus, on peut déduire 3 leçons :

1. Il existe derrière les gouvernements de ce monde, tout un monde de puissances spirituelles qui, au fond, sont les vrais décideurs de ce qui se produit. Il est notable que, malgré la prétention incroyable dont faisait preuve Satan au sujet de son pouvoir, Jésus ne l’ait pas contesté. Au contraire ! Dans ses futurs discours, Jésus confirmera la réalité des dires de Satan à son propre sujet. Le diable, dira Jésus, est le prince de ce monde. L’apôtre Paul l’appellera plus tard le prince de la puissance de l’air, l’esprit qui agit dans le cœur des rebelles. L’apôtre Jean sera sans ambiguïté : le monde entier, dira-t-il est sous la puissance du Malin ! Oui ! Satan existe, et c’est lui qui, dans les coulisses, tire les ficelles de ce qui se passe ici-bas !

2. Satan, étant à la tête de l’empire invisible du monde, il est également le seul capable de le fédérer. Il ne faut cependant pas se faire d’illusion sur la nature de cette unité fédérative que Satan est capable de susciter. Jésus nous a clairement prévenu : Satan est Menteur et Meurtrier dès le commencement ! Si donc, il réussit un jour à créer dans ce monde un consensus et une unité, celle-ci ne sera que le fruit d’une séduction et d’un aveuglement généralisés. L’objectif de Satan n’est pas la paix, mais la destruction. Même s’il en donne l’apparence, il n’a pas d’amour pour l’humanité, mais que de la haine. Car il sait que, dans le cœur de Dieu, en tant que créatures faites à Son image, nous l’avons supplanté, lui qui, dès le début, s’est montré rebelle et jaloux de Dieu. Nos lointains parents, raconte la genèse, se sont déjà un jour laissés berner par ses mensonges. Depuis, le monde est sous son contrôle. C’est ce qu’il a signifié à Jésus en disant que le monde lui a été livré. L’humanité n’a pas encore connu toute la mesure de ce que cette réalité implique, le pouvoir de Satan étant actuellement contrarié, comme nous le verrons plus tard !

3. Jésus, nous raconte les Evangiles, n’a pas souscrit à la proposition qui lui a été faite par Satan. Heureusement ! Nous imaginons ce qu’aurait été le monde si, au lieu d’utiliser ses charismes pour Dieu et le bien, Jésus aurait été le jouet du Malin ! Le règne de Jésus avec Satan aurait alors été le mariage de la puissance absolue avec la force brutale ! On ne peut dire que merci à Jésus d’avoir refusé la proposition diabolique. Ne nous réjouissons cependant pas de trop. Car la Bible nous annonce qu’arrivera, à la fin des temps, un homme qui, contrairement à Jésus, acceptera l’offre de domination mondiale faite par le diable. Cet homme, la Bible le désigne lui aussi sous différents noms : l’Impie, le Sans-loi, l’Adversaire, le fils de la perdition ou plus communément la Bête ou l’Antichrist. Aux juifs de son temps, incrédules, Jésus dira cette parole mystérieuse : Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.

La venue de l’Antichrist, son identification, n’a cessé, au cours des siècles, de faire l’objet de nombreuses supputations. De façon claire, cependant, son apparition et la violence, le chaos et la dictature qu’elle entraînera dans son sillage, sont présentés dans l’Apocalypse, le livre de la révélation des choses qui doivent venir, comme le 2ème niveau de la manifestation de la colère de Dieu. Après avoir été livré à lui-même, le monde devra connaître ce que signifie pour lui d’être livré au pouvoir du sauveur qu’il s’est choisi, parce qu’il aura refusé Jésus, le Sauveur que Dieu lui a envoyé !

Comment, de quelle manière, suivant quelles grandes lignes pourrait se faire l’apparition de cet homme : c’est ce que nous essayerons de voir dans le prochain billet !


Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus