Le chêne liège
Dans " le chêne liège ", l’un de ses derniers chants, Francis Cabrel, chanteur à texte, exprime les questions qui sont les siennes et, sans doute, celles de bon nombre de nos contemporains, face à " l’Inconnu " que représente Dieu et le tâtonnement auquel doit se livrer tout chercheur honnête de certitudes à son sujet.
Reprenons quelques-unes des questions de Cabrel pour essayer d’y apporter des réponses !
Que sais-je ?
Adossé à un chêne liège,
Je descendais quelques arpèges
En priant Dieu, Bouddha, que sais-je,
Est-ce que tu penses à nous un peu ?
Je descendais quelques arpèges
En priant Dieu, Bouddha, que sais-je,
Est-ce que tu penses à nous un peu ?
Pour un bon nombre de nos contemporains, semble-t-il, ce n’est pas tant l’existence de Dieu qui pose problème, que la difficulté de l’identifier ! Qui est Dieu ? Sous quels traits se présente-t-il ? Sous quel visage est-il possible de Le connaître ?
La question de Cabrel est légitime ! Elle a en tout cas le mérite de mettre le doigt sur un élément essentiel de communication. Si Dieu existe, comment ce Dieu qui, par définition, nous surpasse en tout, peut-il être connu de personnes comme nous, limitées dans un corps physique équipé de 5 sens ? Un principe, utilisé par Francis Cabrel lui-même, pour nous faire écouter ses compositions, va nous aider à trouver la réponse.
Plus que jamais, nous le savons, nous vivons dans un monde de communication. Si, dans le passé, la communication se limitait à la parole et à l’écrit, les technologies modernes, par la création de nouveaux médias, en a multiplié les moyens. Remarquons seulement que si le média véhicule l’information, il ne l’est pas lui-même. Il est juste le porteur de l’information qui, pourrait-on dire, l’habite tout entier. Une autre vertu du média, sans doute la plus appréciée des utilisateurs d’Internet, est la capacité qu’il a de mettre littéralement en contact des personnes entre elles, sans que ni l’une, ni l’autre n’a à se déplacer. Le média, du latin médium, est un intermédiaire.
La leçon que nous enseigne le média est que, depuis toujours, il existe des moyens pour que ce qui n’est pas audible ou visible puisse le devenir. La parole, média universel, en est l’exemple type. Tant que je ne parle pas, personne autour de moi, ne sait ce que je pense. Mais que je vienne à parler et, aussitôt, c’est tout un monde caché, secret, inaccessible qui s’ouvre. La parole, média de la pensée, est la clé qui a ouvert l’accès vers l’extérieur à ce monde intérieur fermé.
Créé à l’image de Dieu, nous ne fonctionnons pas autrement que Lui. Aussi, est-il impossible de connaître Dieu sans que celui-ci se révèle à nous au moyen d’un Média, porteur de toutes les informations et les données dont nous avons besoin pour cela. Deux Médias précis, parmi d’autres plus vagues, éprouvés depuis des siècles, confirmés par ceux qui se sont mis à leur écoute, nous ouvrent l’accès à la connaissance de Dieu !
Les deux Médias de Dieu
Le premier est un Livre qui a traversé les siècles. Il a pour nom " l’Ecriture. " Il est le Média qui rend témoignage de tout ce que Dieu est et a fait dans le temps et dans l’histoire. Il décrit le passé, mais annonce aussi l’avenir jusqu’à la consommation des temps. Ecrit sur une période de 15 siècles par environ 40 auteurs différents, il a été au cours du temps le Livre le plus aimé, le plus haï, le plus interdit, le plus répandu, le plus confisqué, le plus traduit. Il est encore aujourd’hui largement en tête des best-sellers de tous les temps. Ce Livre, c’est la Bible. Dans la rubrique qui porte ce nom, vous pouvez vous documenter sur les preuves internes et externes de la crédibilité de ce livre !
Le second est une Personne. Elle est désignée par le premier média comme " la Parole faite chair ". Cette personne est connue dans l’histoire sous le nom de Jésus-Christ. Par Jésus-Christ, Dieu, dit la Bible, s’est manifesté à nous de façon physique. Il a quitté l’éternité pour entrer dans le temps. Il a quitté la condition divine pour revêtir la condition humaine. Par Lui, l’inaccessible est devenu palpable, audible, visible. Bien qu’enfermé dans les limites de nos cinq sens, les preuves de l’identité réelle et cachée de l’homme Jésus apparaisse constamment. Son autorité sur les lois et les forces de la nature, Sa connaissance immédiate des pensées humaines, la puissance de guérison, de libération, de résurrection dont il fait preuve : tout est là pour attester de ce qu’Il est. Sa naissance, sa vie, sa mort suivie de sa résurrection signent de manière irréfutable le témoignage rendu par ses proches à son sujet.
La Bible donnée, Jésus-Christ venu, il n’est plus possible de poser l’interrogation " Que sais-je ? " au sujet de Dieu. Mais d’autres questions sont posées dans le chant de Francis Cabrel. Nous prendrons le temps de les évoquer lors de prochains billets !
Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus
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