samedi 26 septembre 2009

Calvin : 1509 - 2009 (9)



Séparation


Calvin et Farel chassés de Genève, se dirigèrent d’abord sur Berne, puis sur Zurich où siégeait un synode. Sur la recommandation de cette Assemblée, une ambassade les raccompagna vers Genève, mais un message du Conseil de la ville les arrêta en route. Peu après les deux amis se séparèrent. Farel se retira à Neuchâtel, où il exerça jusqu’à la fin de sa vie le ministère évangélique ; Calvin, de son côté, auquel le séjour de Bâle plaisait, voulait s’y établir, quand une lettre de Martin Bucer l’invita à venir à Strasbourg.


Strasbourg


Calvin a environ trente ans quand il s’établit à Strasbourg pour 3 ans. Au lieu de l’impétueux Farel comme interlocuteur, Calvin a face à lui des hommes de haut niveau intellectuel : Matthias Zell, grand prédicateur de la cathédrale ; Capiton, professeur à l’Université ; Johann Sturm qui a fondé le gymnase dont il est le directeur ; et surtout Martin Bucer, théologien situé entre Luther et Zwingli, dont il peut être considéré comme l’égal.


Calvin vit à Strasbourg bien d’autres expériences qu’à Genève. Tout d’abord, il peut regarder de près comment Bucer a mis en acte la Réforme dans la capitale alsacienne, selon les conditions culturelles de l’époque. Il côtoie de plus des hommes qui, contrairement à l’esprit du temps, savent rester pondérés et maîtres d’eux-mêmes dans leurs propos face à leurs adversaires. Au lieu d’être prédicateur sur demande, Calvin apprend à Strasbourg ce que signifie être pasteur en prenant en charge la petite communauté francophone composée de personnes de milieux et d’arrière-plan religieux très différents.


Calvin utilisera également les trois années strasbourgeoises pour approfondir sa connaissance de l’histoire de l’Eglise. Ses capacités pédagogiques et son bagage culturel sont naturellement exploités à l’Académie où il enseigne la théologie en commentant l’épître de Paul aux romains. Le fruit de tout ce travail se concrétisera pas une nouvelle rédaction de l’Institution chrétienne, beaucoup plus ample que la première, publiée en latin en 1539.


Exégète habile et témoin confirmé, Calvin révèle également pendant ces années un grand talent de polémiste. Avec Mélanchton, qui deviendra un ami, et Bucer, Calvin participera à de nombreuses rencontres où s’affronteront, sous le patronage de l’Empereur Charles Quint, les représentants de la tradition catholique et des partisans de la nouvelle théologie.


Mariage… et veuvage



C’est aussi à Strasbourg que Calvin épousera Idelette de Bure, veuve d’origine flamande d’un anabaptiste appelé Jean Storder. Le choix du mariage sera pour Calvin, comme pour Luther et Bucer avant lui, un choix existentiel lourd de sens. Dans la mentalité fortement monastique de l’époque, la femme est la grande étrangère. Aussi le choix du mariage ne répond-il pas à des aspirations d’ordre sentimental ou romantique - inconnues à l’époque -, ni à un utilitarisme banal ou à la satisfaction de penchants licencieux. Se marier implique dépasser cette mentalité qui fait du clergé un ordre séparé de la vraie vie. Le pasteur devient donc un laïc qui partage ce que vivent les autres hommes, comme le faisaient en leur temps les évêques de l’époque apostolique, l’apôtre Pierre en tête.
Malheureusement pour Calvin, Idelette de Bure décédera en 1949 après n’avoir partagé sa vie que pendant neuf ans. A sa mort, Calvin écrira à Viret pour lui dire : « J’ai perdu l’excellente compagne de ma vie, celle qui ne m’eut jamais quitté, ni dans l’exil, ni dans la misère, ni dans la mort… Je succomberais si je ne faisais un effort sur moi-même pour surmonter mon affliction. ».


Retour à Genève


Le départ de Calvin et de Farel de Genève, loin d’apporter le calme, fut suivi d’une époque où toutes les passions semblaient déchaînées. Le Cardinal Sadolet écrivit une lettre à la population qui fit grand effet. Par elle, il encourageait avec beaucoup d’habileté celle-ci à retourner à la foi de leurs pères. Calvin, qui eut connaissance de la chose, répondit vertement au prélat romain. Le tumulte fut tel que, le 21 septembre 1540, on décida de le rappeler. Sur les instances de Farel, il y consentit, non sans avoir marqué un temps d’hésitation fort compréhensible.






Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus

samedi 19 septembre 2009

Le poids des mots

Communication

Nous le savons tous : la communication entre nous passe au travers des mots. Vecteurs des idées, les mots ont pour objet de traduire ce que nous pensons en termes compréhensibles pour celui avec qui nous communiquons. Lorsque les mots utilisés sont corrects, ou compris de la même manière par celui qui les dit et celui qui les écoute, nous pouvons dire que la communication est réussie. Lorsque ce n’est pas le cas, le brouillage engendre inévitablement malentendus, incompréhensions, conflits.

S’il y a bien aujourd’hui un domaine porteur d’embrouille dans la communication entre les êtres, il s’agit de celui des mots que nous utilisons. Curieusement, le vocabulaire que nous utilisons n’a pas changé. Les mots s’écrivent de la même façon. Mais suivant qu’ils soient utilisés par telle ou telle personne, ils n’ont pas ou plus la même signification. Le problème ne tient pas au mot en lui-même qui est et reste un vecteur d’idée, mais plutôt à la réalité que véhicule, dans chacun des esprits, le mot prononcé. Le mot qui, à l’origine, avait un sens premier, s’est chargé en cours de route de nouvelles significations. Ceci à tel point qu’il n’est pas rare que, utilisant un même mot, il arrive que deux personnes parlant ensemble pensent, en les employant, à tout autre chose.

Manipulation verbale

Vecteur d’idées, les mots que nous employons sont devenus un enjeu majeur dans la bataille d’influence secrète qui se livre dans les coulisses de ce monde. Tous les grands penseurs du monde poursuivent au fond le même objectif : celui de gagner la masse, la majorité à leurs idées. Dans ce combat, les mots jouent un rôle essentiel : celui de définir les concepts auxquels ils croient, ou auxquels ils veulent que les peuples adhèrent. L’évolution du comportement d’un peuple est un travail de longue haleine, le fruit d’une œuvre souterraine qui passe par la lente modification des consciences. Cette conscience est comme un curseur. D’un point A où elle se trouve, elle peut être déplacée vers un point B vers lequel on désire la voir aller. Ce déplacement de la conscience, pour ne pas dire sa manipulation, ne doit pas, pour aboutir, se faire trop brutalement. C’est à leur insu, sans qu’ils le remarquent vraiment que les peuples, à petits pas, changent de mentalité. Inévitablement, au bout de quelques temps, le déplacement est visible. Mais comme les choses se sont faites en douceur et qu’elles se sont généralisées, personne ne dit rien. Fin connaisseur de l’homme, les docteurs en manipulation de conscience travaillent sur la base de deux principes qui, tout au long de l’histoire, ont toujours fait leurs preuves :
1er principe : le caractère grégaire de la masse. Les hommes ressemblent davantage aux moutons de Panurge qu’aux prédateurs solitaires. C’est le nombre qui fait leur sécurité.

2ème principe : 10 petits pas valent mieux qu’un grand pour atteindre un but.

Stratégie à long terme

Aussi, afin de préparer la masse à adopter les évolutions qu’ils programment, nos chers manipulateurs agissent-ils par à coup. 1er à coup : on remet en question le bien-fondé du comportement qui était normatif jusque là. 2ème à coup : on présente en avant première un comportement avant-gardiste. 3ème à coup : on utilise le mot employé pour décrire le comportement passé pour identifier le nouveau que l’on voudrait voir adopter (Exemple : voyez, « Ca » aussi c’est une forme d’amour…). 4ème à coup, on arrose le peuple de films, de débats, de livres qui donnent leur légitimité au nouveau comportement. C’est la technique du bombardement intensif, du harcèlement qui ne porte ses fruits que sur des esprits ouverts. 5ème et dernier coup : le nouveau comportement légitimé, il devient le point de départ moral de la génération qui suit… et qui, du coup, ne saura plus quelle réalité les mots qu’elle emploie recouvrait à l’origine. Du coup, et celui-ci est le plus mauvais, ce sont ceux qui, pour cause de principe, ont refusé de voir le curseur de leur conscience évoluer qui sont désormais désignés comme les ennemis du progrès, des fondamentalistes arriérés, des sectaires ou des intolérants…

La Parole

Ce n’est pas pour rien que la Bible dit : « Au commencement était la Parole. » Comme les mots pour nos idées, la Parole de Dieu est le vecteur des vues et des concepts qui sont les Siens. Se confronter à la Parole de Dieu, c’est se heurter au sens et à la signification des mots que Dieu utilise pour décrire la réalité. Le glissement de sens qu’ont connu la plupart des mots majeurs que la Bible utilise suffit à expliquer la réticence de la majorité à se frotter à sa lecture. Il n’y a, par exemple, aucune commune mesure entre ce que les mots amour, enfer, sacrifice expriment dans la Bible et dans la pensée du commun des mortels aujourd’hui.

Que vous le sachiez : au cours du temps, les mots que vous utilisez ont subi ce qui est arrivé aux biens de millions de gens à travers la crise : ils ont été dévalués. Pour découvrir ce que Dieu dit, pense, comment il conçoit la réalité, il vous faire l’effort de démaquiller les mots que vous utilisez pour redécouvrir leur vrai visage. Il faut parfois aller jusqu’à remettre à l’endroit ce qui a été retourné, mis à l’envers. C’est à ce prix aujourd’hui que la vérité se trouve. Dans un monde qui a perdu ses repères (et pour cause), le bénéfice de savoir ce pour quoi nous existons (autrement dit comment se définit la réalité) n’a pas de prix !

Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus

samedi 12 septembre 2009

11 septembre : où se trouve le révisionnisme



Les fondements de la vérité




S’il y a bien quelque chose de difficile à croire, c’est bien… la vérité. Tous ceux qui, comme moi, sont passés de l’incroyance ou d’une croyance vague à la certitude le savent : il leur aura fallu pour franchir cette étape comme une illumination. Cette illumination seule, et non pas les déductions savantes et compliquées de la raison, est à la base de la conviction que ce que l’on croit est la vérité. Pour autant, cette conviction ne repose pas que sur des concepts. Elle s’appuie d’abord sur les faits. Ainsi, si je crois en Jésus-Christ, Fils de Dieu et Sauveur des hommes, ce n’est pas simplement sur la base d’un scénario qui peut être recevable, mais d’abord sur le témoignage qui Lui est rendu dans les Evangiles, témoignage qui s’appuie sur le récit de Ses œuvres, Ses paroles, et les faits majeurs de Sa mort suivie de Sa résurrection.

Analogie



Le même schéma (celui du regard sur les faits), auteur de ma foi en Jésus-Christ, m’a amené depuis le 11 septembre 2001, à être de plus en plus sceptique quant à la présentation donnée par la version officielle sur ce qui s'est réellement produit le 11 septembre. Trop d'incohérences, de résistance à la mise à l'épreuve, trop de rapidité à vouloir désigner des coupables ont fait que beaucoup n'ont pu adhérer spontanément et durablement à cette version. Il est inévitable que l'émotion considérable, principalement chez les familles de victimes, qui a suivi le drame ne pouvait que pousser certaines d'entre elles à une profonde investigation. Cette émotion s'est rapidement traduite en un mouvement "le Mouvement pour la vérité sur le 9/11", mouvement constitué à la fois d'experts dans leurs domaines et de sceptiques quant à la façon dont on a voulu que le monde interprète ce qui venait de se produire. L'enquête a commencé pratiquement le jour même des attentats. Depuis, elle a beaucoup progressé, étayée par des témoins de la 1ère heure... et l'embarras de plus en plus grand, semble-t-il des autorités.

Je me souviens pour ma part du choc qu’a été pour moi la première confrontation avec les tenants du «Mouvement pour la vérité sur le 11/09 ». Les conclusions des experts consultés, toutes fondées sur des faits précis, mesurables, physiques, étaient telles qu’elles m’apparaissaient comme une monstruosité. Toute pointaient vers deux conclusions : la 1ère est que la version officielle était truffée de mensonges, la seconde était que, pour le moins, au plus haut niveau,ce qui allait se produire le 11 septembre était connu d’avance et que rien n'a été empêché pour que le projet réussisse. Ebranlé par une telle révélation, j’ai voulu en faire part autour de moi. Je me suis aussitôt heurté à la même incrédulité que lorsque je parle de la réalité du Christ vivant aujourd’hui et agissant dans des vies. « Impossible ! Trop grave ! On n’a pas le droit de penser de telles choses… ! » Quoi que ce soit d'impensable qui se produise, en bien ou en mal, le constat est que l'esprit humain a bien toutes les peines du monde à l'envisager !


Le Mouvement pour la Vérité sur le 11/09



Ce mouvement, aujourd’hui énorme, a eu sa genèse dans le cœur de quatre femmes veuves, effondrées mais tenaces, qui ne pouvaient supporter de ne pas connaître la vérité sur ce qui avait ôté le vie de leurs maris. Qui ne les comprendrait ! Rapidement confrontées à une "vérité pré-emballée, toute faite, à consommer immédiatement sans chercher trop à savoir ce qu'il y a dedans", elles se sont liguées ensemble pour exiger une Commission d’enquête indépendante. Le livre d’Eric Reynaud « 11 septembre : les vérités cachées » raconte en détail la suite de l’aventure. Mon article est ici trop court pour relever tout ce qui fait qu’aujourd’hui la version officielle des attentats est malmenée (le mot est faible). Quoi qu'il en soit, l'enquête sur le 11 sepetmbre mené par le Mouvement comme la version officielle ne pourront à terme que se heurter au principe énoncé par l'apôtre Paul dans l'une de ses lettres : la puissance se trouve toujours du côté de la vérité ! Ou, comme le dit encore Racine : "Il n'est point de secret qui ne résisite au temps !"

Le Mouvement pour la vérité sur le 11/09 étant, pour les autorités "comme un chien dans un jeu de quilles", a inévitablement été l'objet, à son commencement, de la raillerie de ses opposants. "Qui sont ces huluberlus pour être capable de décrypter des phénomènes aussi compliqués que ceux qui ont abattu les trois tours (et non pas deux) le 11 septembre 2001." Les moqueurs et les railleurs auraient du se méfier de la parole biblique de ne pas mépriser "les petits commencements". Rappelons, à ce sujet, que lorsque Jésus-Christ quitta ce monde, il ne laissa pour continuer son oeuvre que 11 hommes, qui devinrent rapidement 120, puis 3 000 et plus tard 5 000... Commencé petit, le Mouvement connaît le même phénomène, rejoint année après année par :

- des physiciens, des chimistes créant les « Universitaires pour la vérité et la justice sur le 11/09 »


- Richard Cage qui a fondé « Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11/09 » comptant 700 membres. Parmi eux figurent d’éminents experts en génie civil affirmant sans l’ombre d’un doute que l’écroulement des tours n’est pas dû au choc des avions, mais porte toutes les marques d’une démolition contrôlée.


- des soldats du feu  qui, en 2008, créèrent « l’Association des pompiers pour la vérité sur le 11/09 ». Tous ceux qui en font partie ou presque ont vu périr l’un des leurs lors de la chute des tours


- D'anciens pilotes de ligne et militaires qui disent pourquoi l’explication sur les avions de ligne non interceptés, ne peut être recevable.


- des associations de professionnels de la santé, d’avocats, de responsables religieux et de responsables politiques pour la vérité sur le 11/09


- enfin, dernière association née, des officiers du Renseignements, anciens cadres de la CIA, qui, 8 ans après, sont prêts à parler.


Toutes ces associations sont appuyées par l’Association des victimes du 11/09 qui regroupe plusieurs centaines de familles ayant perdu un ou plusieurs membres dans la tragédie.



Reconfiguration et conclusions :



Pourquoi parler de tels faits sur un blog chrétien ! Pour plusieurs raisons !



1. D’abord pour le fait certain que tous les événements clés qui reconfigurent le monde ne se produisent pas par hasard. Le chrétien croit que la marche de l’histoire tend vers un but et que des paliers et des étapes importants jalonnent l’histoire des nations vers ce but. Le 11/09 en fait partie.



2. Parce que, ensuite, il est impossible de sortir indemne de la révélation d’une pratique du mensonge à un tel niveau. Les Etats-Unis représentent aux yeux de l’Occident la nation la plus éclairée, le porte-drapeau (de plus en plus terne) des valeurs chrétiennes, de la liberté. Si donc, dans une telle nation, forte d’un tel héritage, les ténèbres du mensonge peuvent être si épaisses, qu’en est-il du reste du monde ?



3. Cette révélation de la présence du mensonge programmé à haut niveau confirme une vérité affirmée par Satan à Jésus lors de la tentation, lorsqu’il Lui proposa, après lui avoir montré tous les royaumes de la terre, la domination mondiale : « Je te donnerai toute l’autorité et la gloire de ces royaumes ; car elle m’a été livrée, et je la donne à qui je veux ! » Non contredit par Jésus, Satan, le Menteur, affirme être l’esprit qui dirige le monde et tire en coulisses le fil de toutes les marionnettes qui y sont actrices ! Le philosophe Blaise Pascal disait à son époque : "La vérité est si obscurcie en ces temps et le mensonge si établi, qu'à moins d'aimer la vérité, on ne saurait la reconnaître." Il ne dirait pas autre chose aujourd'hui !



4. Cette révélation induit également ce que Jésus n’a cessé de dire et redire dans les Evangiles : ce n’est pas ici-bas que se trouve la vérité. Malheur donc à celui qui croit et de confie en l’homme (ou les hommes) pour asseoir ses certitudes. La vérité ne peut venir que d’En-haut, du royaume de Dieu, royaume dans lequel toutes ténèbres sont absentes. C’est pourquoi, en toutes choses, face à toute information, surtout à celle que l’on veut absolument, par le matraquage, nous faire croire, soyons hyper prudents ! Recoupons nos sources, cherchons... S'il est vrai que l'on nous ment si effrontément, qu'y a-t-il encore de sûr venant de ce monde ?




5. Je crois pour ma part que le 11/09 constitue une étape décisive vers l’Apocalypse. Apocalypse signifie révélation. Le titre de ce dernier livre donné à la Bible, souvent assimilé à la fin des temps et du monde, parle aussi d’une autre vérité. L’Apocalypse est le livre du dénouement. Il relate un temps où ce qui était secret apparaît de plus en plus au plein jour, pour que chacun, en connaissance de cause, choisisse son camp : celui de la Vérité ou celui du mensonge ! Tous les événements qui se déroulent en notre temps sont comme les pièces d’un puzzle se mettant en place pour que le scénario décrit dans la Bible comme concluant l’histoire du monde sous le régime du péché et du mensonge se réalise !


Je le redis : il est temps pour chacun d’afficher clairement à quel camp il appartient ! Pour ma part, convaincu par Jésus-Christ, j’ai choisi !



Pour une réflexion approfondie sur la complexité de connaître l'entière vérité sur cette affaire, lire :


http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/11-septembre-ce-que-nous-savons-61330


http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/attentats-du-11-septembre-au-dela-61331

Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus

samedi 5 septembre 2009

Ce si simple Evangile...

Vous arrive-t-il de penser que le message évangélique est trop compliqué ? Pour aider ses auditeurs à comprendre ce qu’Il voulait leur dire, Jésus, au lieu d’un long discours, a maintes fois utilisé des illustrations de la vie courante. Une illustration est une image qui visualise une vérité. Avec l’avènement du 7ème art, nous avons mieux que l’imaginaire pour fixer les images illustrant les concepts que nous voulons transmettre. Nous avons le film ! Si vous n’avez pas compris ce que Jésus a fait pour vous, en quoi Son sacrifice vous est utile, regardez cette vidéo. Je suis sûr qu’elle vous parlera plus qu’une longue dissertation sur le sujet !


Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus