Cette question m’a longtemps travaillé ! Pourtant, je ne suis pas né sous X. J’avais des parents, un domicile, une adresse. Mais, au fond de moi, ces renseignements sur mon identité ne suffisaient pas. Il y avait en moi des aspirations, une soif, un besoin de certitudes face aux grandes questions de l’existence. Vivre pour vivre n’était pas une réponse.
Qui suis-je ?
Qui suis-je ?
Je ne trouvais pas la solution en moi-même. Je désirais le bien, mais faisais le mal. Je voulais être heureux, mais rien ne me contentait. Je poursuivais l’amour, mais j’étais égoïste. Je ne supportais plus cette contradiction interne. Etais-je bon ou mauvais, ange ou démon… ?
Qui suis-je ?
Qui suis-je ?
Je l’ai compris le jour où j’ai saisi la cause de mon déchirement. Ce que je suis a une double explication. D’une part, j’ai été créé pour le meilleur, le bon, le beau, le vrai. Je viens de Dieu et mon être profond aspire à Le connaître. D’autre part, je suis séparé de Dieu, privé de sa présence. Ce sont les désirs de ma nature égoïste, centrée sur elle-même, qui dominent tout mon être.
Qui suis-je ?
Qui suis-je ?
J’ai trouvé la paix le jour où j’ai cru en Celui qui, seul, a le pouvoir de résoudre le dilemme que pose chaque vie. Car nous ne pouvons nous changer nous-mêmes. Il nous faut à la fois être réconcilié avec Dieu et recevoir la force de vivre une vie neuve. Tout ceci, dit la Bible, s’obtient par Jésus-Christ, venu de Dieu, mort pour nous assurer le pardon de nos fautes, et ressuscité pour nous communiquer une vie nouvelle.
Qui suis-je ?
Qui suis-je ?
Je n’ai pas changé, mais tout a changé. J’ai la même apparence, mais un autre contenu. Je suis toujours mortel, mais, au fond de moi, je possède la Vie. Il m’arrive encore de faire le mal, mais j’ai reçu la force de faire le bien. Je ne sais pas tout, mais je sais qui je suis : une nouvelle création. Ne voudriez-vous pas avoir cette assurance ?
Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus
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