samedi 15 mars 2008

De grands hommes et leurs derniers mots

La dernière heure !

Les déclarations faites par des mourants sont dignes de confiance. Même les menteurs font des aveux honnêtes à ce moment-là. Les propos tenus sur leur lit de mort nous en apprennent plus sur les gens que tout ce qu’ils ont pu dire ou faire de leur vivant. Quand les hommes se voient confrontés à la mort, ils laissent tomber leurs masques et se montrent enfin tels qu’ils sont.

Dans la préface de son livre « Le meilleur des mondes », Aldous Huxley nous invite à juger les gens et les choses comme nous le ferions si nous nous trouvions sur notre lit de mort.

De grands hommes et leurs derniers mots !

Les personnages célèbres de l’histoire ne sont pas seulement des modèles d’inspiration pour les générations qui leur succèdent. Leurs pensées, leur réflexion, leurs paroles sont autant de points de référence qui perdurent après eux. A la lumière de ce que dit Huxley, je vous propose de faire connaissance avec les derniers mots de plusieurs grands hommes ayant marqué l’histoire :

CESAR AUGUSTE : « Ai-je bien joué mon rôle ? Alors, applaudissez, car la comédie est terminée ! »

HENRI VIII d’Angleterre : « Maintenant, tout est fini : mon royaume, mon corps et mon âme ! »

CESAR BORGIA, homme d’Etat : « Dans touts les circonstances de ma vie, j’ai été prévoyant et j’ai toujours pris toutes les dispositions nécessaires. Et voilà que maintenant je dois mourir sans y être préparé. »

MAZARIN, cardinal : « Mon âme, qu’adviendra-t-il de toi ? »

THOMAS HOBBES, philosophe anglais : Je dois franchir ce pas redoutable qui me conduira dans les ténèbres. »

DAVID HUME, philosophe écossais, athée, cria : « Je suis dans les flammes ! Son désespoir fut terrible. »

VOLTAIRE, le célèbre écrivain satirique, eut une fin épouvantable. L’infirmière qui se trouvait à son chevet déclara : « Pour tout l’or du monde, je ne voudrais assister encore une fois à l’agonie d’un incroyant. » Il cria toute la nuit pour obtenir le pardon.

Au sujet de l’empereur NAPOLEON, le comte Montholon écrivit : l’empereur meurt solitaire et abandonné. Son agonie est terrible.

GOETHE, poète et romancier allemand : « Plus de lumière ! »

HENRI HEINE, poète allemand, s’est repenti devant Dieu vers la fin de sa vie. Dans l’épilogue de son recueil de poèmes « Romancero », il dit : « Avec grand soin et avec zèle, j’ai jeté dans les flammes les poèmes qui offensaient Dieu d’une façon ou d’une autre. Mieux vaut que brûlent les poèmes que celui qui les a écrits ! »

NIETZSCHE, le philosophe nihiliste allemand, est mort dans la démence

SIR THOMAS SCOTT, ancien président de la Chambre Haute du Parlement anglais : « Jusqu’à présent, je ne croyais ni en Dieu ni à l’enfer. Maintenant je sais qu’ils existent, l’un et l’autre, et que le jugement équitable du Tout-Puissant me damnera pour l’éternité. »

A propose de la fin de STALINE, sa fille Swetlana Allilujewa, appelée en mars 1953 au chevet du dictateur mourant, dit : « Mon père est mort d’une façon terrible et difficile. Dieu donne une mort facile à ses justes. »

WINSTON CHURCHILL, homme d’Etat anglais : « Quel fou ai-je été ! »

JEAN-PAUL SARTRE, le philosophe français : « J’ai échoué ! »

JESUS-CHRIST, le Fils de Dieu : « Tout est accompli ! »

Enseignement

Voltaire, David Hume et d’autres auraient certainement ri si on leur avait dit de leur vivant que sans Jésus, ils couraient à leur perte. Ils ont été, malgré tout, obligés de constater que la Bible a raison quand elle dit : Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois après quoi vient le jugement.[1]

Et vous, comment allez-vous mourir ? Quelles seront vos dernières paroles ? Sera-t-il aussi trop tard pour vous ?

« Jésus-Christ a paru dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis, moi, le premier » a écrit Saul de Tarse, persécuteur des chrétiens,[2] devenu l’apôtre Paul. Paul a su se laisser arrêter par Dieu dans sa course folle pour prendre la décision la plus sage de sa vie : changer de mentalité, faire la paix avec Dieu et croire pleinement au pardon et à la grâce qui lui étaient offerts par Jésus-Christ. Aujourd’hui, lecteur, est pour vous le jour du salut !


[1] Epître aux Hébreux, chapitre 9, verset 27
[2] 1ère épitre à Timothée, chapitre 1, verset 15



Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus

10 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour !
j'ai beaucoup aimé votre page des dernières paroles des hommes, mais je ne crois pas qu'elles engagent l'homme tout entier : seul le Jugement Dernier, le Jugement de Dieu, sera révélateur. Par exemple, je crois, en temps que professeur de Lettres croyante, que Voltaire est une haute figure spirituelle (lutte contre la bêtise dans tous les domaines, lutte pour un protestant persécuté -l'affaire Calas- sa belle prière déiste de tolérance...etc) , même s'il a été "récupéré" par le Réseau Voltaire, et sa dernière réaction n'est que celle d'un croyant angoissé, presque désespéré, parce que, comme tous, il a péché. L'angoisse ne pourrait-elle pas être une preuve de la croyance ? Le Christ aussi a été angoissé : "Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?"

Anonyme a dit…

De tels derniers mots sont plutôt rares aujourd'hui puisque la profession médicale se sert de calmants pour que les mourants puissent glisser inconsciemment dans l'éternité.

Anonyme a dit…

Bonjour,

Suite à votre sujet « De grands hommes et leurs derniers mots », je me permets de vous soumettre une réflexion sur l’Amour de Dieu et l’existence de l’Enfer.

Ce qui me gêne concerne plus le vocabulaire employé. Que la Bible parle de perdition ou de mort éternelle, cela n’est, et je n’en disconviens pas, en aucun cas contradictoire avec l’Amour de Dieu. Qu’y a t’il de mal d’être voué à la perdition pour ne pas avoir reconnu consciemment que l’on est la créature d’un Être Suprême, et qu’en la mort de son Fils unique, nous obtenions le Salut ? Après tout, il serait légitime pour un créateur d’en décider qu’il en soit ainsi !

Là où ma conscience d’homme est interpellée sur l’Amour de Dieu, c’est lorsqu’il est mention d’un feu éternel réservé à tous ceux qui n’auront pas crû en Sa Parole. Il y a là, dans le mot « éternel » une notion de souffrance… atroce ! Qu’il y ait une perdition ou une mort éternelle, dans le sens d’une destruction définitive de l’âme et de l’esprit, cela ne me choquerait pas. Mais de part la nature que Dieu a mis en moi, ce peu d’amour, de loin incomparable au Sien, je trouve, en tant qu’homme, ce sort cruel et inimaginable, mais surtout, antagoniste avec le véritable Amour… Loin de moi de vouloir justifier tous ceux qui seront destinés à ce sort mais si moi, avec ce cœur d’homme, je trouve cruel ce sort, comment se fait-il que l’Amour véritable puisse accepter une telle condition, éternellement… d’éternité en éternité…

Si je me représente le tableau du Paradis et de l’Enfer dépeint dans l’histoire du pauvre Lazare et du riche qui menait joyeuse et brillante vie de Luc 16:19-31, il en ressort, pour ce qui est de l’Enfer, une notion incompatible avec le véritable Amour… Il est dit au verset 24 que le riche souffrait cruellement dans cette flamme. Les mots « souffrance » et « cruellement » associés à l’éternité sont effectivement pour le moins cruel. Pourquoi la souffrance et non pas la destruction ? L’Amour peut-il faire de telle chose ? Je suis en tant qu’homme interpellé…

Je serais ravi d’avoir votre réflexion sur ce sujet ?

Félicitations pour votre site et que Dieu vous bénisse !

Ichtus02 a dit…

Bonjour Denis !

Je comprends l'horreur que vous inspire cette vision d'un jugement et d'une souffrance sans fin. Aucun vrai croyant, connaissant l'amour de Dieu, ne peut rester insensible à cette question.

Pour ma part, je ne considère pas que cette vision soit incompatible avec l'Amour de Dieu. Je dirais même que la réalité de l'amour de Dieu en est l'explication.

Je m'explique à l'aide d'une image. Nous connaissons tous ce qu'est le feu. Le feu est d'ailleurs l'image la plus tuitlisée par Jésus pour décrire les tourments des damnés. Le feu, nous le savons, est un élément qui exprime une double réalité :

- une réalité bienfaisante quant, à bonne distance, nous nous tenons devant lui; le feu nous prodigue alors tout le bien possible

- une souffrance terrible quand, de façon téméraire, nous y entrons sans respecter la distance qui convient.

Je pense personnellement que se trouve ici la différence de vécu entre les sauvés et les damnés. Les uns par Jésus ont la distance nécessaire à l'égard de Dieu pour que le contact avec Lui ne les consume point, mais leur apporte la plénitude de ce qu'Il peut leur donner.

Les autres, bravant Dieu se retrouve face à Lui. Aussi le feu de Son amour se change-t-il pour eux au feu de Sa colère.

Bien des prophètes et des auteurs bibliques nous enseignent que la crainte de l'Eternel est le commencement de la sagesse. Dieu veut être reconnu pour ce qu'Il est. Toute bravade à Son égard ne peut nuire qu'à celui qui en est l'auteur.

Il est dit de Satan qu'un feu, sortant de lui, le consumera. Chacun de nous lorsqu'il pèche connait déjà ce feu, à l'intérieur de lui-même, le feu du remords. Il n'est apaisé qu'en Christ.

Il se pourrait bien en éternité que le feu qui consume les ennemis de Dieu soit aussi celui qui réchauffe le coeur de Ses élus.

En espérant que cette réflexion t'aide!

Salutations

Denis D. a dit…

Depuis ma dernière réponse, je n'ai cessé de me questionner, refusant votre conception de l'enfer...

En dépeignant l'enfer comme un lieu de souffrance ETERNELLE pour les hommes damnés, beaucoup d'églises de chrétiens interprètent mal cette notion fondamentale de la Bible. On n’a nul besoin d'être chrétien pour comprendre que cette interprétation est incompatible avec l'Amour. Avec évidence, tout être humain, qui fait appel à sa conscience et à sa connaissance du bien et du mal, a l'aptitude de savoir ce que permet ou pas l'Amour. Je vous rappelle qu'en matière de connaissance du mal et du bien nous sommes comme Dieu, du fait que l'Homme ait goûté à l'arbre de la connaissance. Cette mauvaise représentation de l'enfer peut constituer, pour des chrétiens du type de Thomas et dont je fais probablement partie, une entrave quant à savoir s'il faut donner ou pas une crédibilité à la Bible. J'ai la certitude, depuis maintenant un bon moment, que Dieu existe mais suite à cette définition de l'enfer, je ne savais plus s'il fallait considérer comme authentique les récits bibliques. En effet, je pars du principe que si toutes les Ecritures sont inspirées de Dieu alors il suffit qu'une seule d'entre elles soit fausse pour remettre en cause l'authenticité de toute la Bible. Soit, on peut me reprocher d'être comme ça mais cette mauvaise interprétation de cette notion fondamentale de la Bible me bouleversait au plus haut point car elle nous interroge sur la nature même de Dieu ! Je ne pouvais admettre que Dieu pouvait être capable d'une telle cruauté.

Je le répète : "Ce qui me gênait, concernait plus le vocabulaire employé. Que la Bible parle de perdition ou de mort éternelle, cela n’est, et je n’en disconviens pas, en aucun cas contradictoire avec l’Amour de Dieu. Qu’y a t’il de mal d’être voué à la mort éternelle pour ne pas avoir reconnu consciemment que l’on est la créature d’un Être Suprême, et qu’en la mort de son Fils unique, nous obtenions le Salut ? APRES TOUT, IL SERAIT LEGITIME POUR UN CREATEUR D'EN DECIDER QU'IL EN SOIT AINSI !

Là où ma conscience d’homme est interpellée sur l’Amour de Dieu, c’est lorsqu’il est mention d’un feu éternel réservé à tous ceux qui n’auront pas crû en Sa Parole. Il y a là, dans le mot « éternel » une notion de souffrance… atroce et incompatible avec l'Amour ! Qu’il y ait une perdition ou une mort éternelle, dans le sens d’une destruction définitive de l’âme et de l’esprit, cela ne me choquerait pas. Mais de part la nature que Dieu a mis en moi, ce peu d’amour, de loin incommensurable au Sien, je trouve, en tant qu’homme, ce sort cruel et inimaginable, mais surtout, antagoniste avec le véritable Amour… Loin de moi de vouloir justifier tous ceux qui seront destinés à ce sort mais si moi, avec ce cœur d’homme, je trouve cruel ce sort, comment se fait-il que l’Amour véritable puisse accepter une telle condition, éternellement… d’éternité en éternité…

Si je me représente le tableau du Paradis et de l’Enfer dépeint dans l’histoire du pauvre Lazare et du riche qui menait joyeuse et brillante vie de Luc 16:19-31, il en ressort, pour ce qui est de l’Enfer, une notion incompatible avec le véritable Amour… Il est dit au verset 24 que le riche souffrait cruellement dans cette flamme. Les mots « souffrance » et « cruellement » sont, à eux seuls, tout sauf l’expression de l'Amour. Ce passage omet en plus, et ce sans vouloir porter cette cruauté à son comble, le mot "éternellement"... Autrement écrit, ce verset aurait pu être : "que le riche souffrait cruellement d'éternité en éternité dans cette flamme".
Pourquoi la souffrance et non pas la destruction ? L’Amour peut-il faire de telle chose ? Je suis en tant qu’homme interpellé… Je le suis d’autant plus que c’est la nature même de Dieu dont il est question.

Résultat ? Je n’arrivais plus à lire la Bible, persuadé dans mon for intérieur qu’un dieu d’amour ne pouvait avoir de tels desseins envers sa créature. Je l’avais rangé, sans toutefois cesser de demander à Dieu de m’éclairer à ce sujet, jusqu’à hier, jour où l’explication de ce qu’est l’enfer m’a été donné ! J’ai supplié Dieu de m’en donner l’explication car cela commençait à trop altérer ma foi. Je l’ai même mis devant sa responsabilité, en lui disant que s’il ne m’éclairait pas sur ce sujet et bien qu’il ne pourra plus compter sur moi pour lire la Bible ! Ma quête m’a même poussé à acheter un livre sur internet qui traite de ce sujet et qui m’a été livré d’ailleurs la semaine dernière ("23 minutes en enfer"). Livre, pourtant écrit par un chrétien, et que j’ai immédiatement jeté après à peine 5 minutes de lecture parce qu’il abondait dans une description de l’enfer dont j’étais persuadé qu’elle était erronée. Je ne crois pas que Dieu nous en veuille de chercher la Vérité, de sonder les Ecritures. La foi est la foi mais on ne peut faire preuve, non plus, d’une foi bête. Ce n’est pas ce que Dieu veut ! Il est dit : la Vérité vous affranchira, chercher et vous trouverez. Je souffrais sincèrement de ne plus lire la Bible à cause de cette incompréhension et je suis aussi persuadé que Dieu ne pouvait accepter cet état de fait.

Hier, j’ai trouvé une explication qui me paraît exacte sur ce qu’est l’enfer et je suis sûr que c’est Dieu qui m’a permis de la trouver. Beaucoup de chrétiens ont une fausse idée de l’enfer et, même si on peut critiquer mon entêtement ou encore ma foi, j’ai l’humble avantage d’avoir aujourd’hui une vision exacte de l’enfer et de pouvoir enrichir les autres de cette connaissance. NON, Dieu n’a pas une nature qui l’amènerait à faire souffrir l’Homme éternellement ! OUI, l’Amour est le contraire de la souffrance et de la cruauté ! Cela me semblait, à moi et ce sans aucune prétention, une évidence…

Voici une explication de ce qu’est l’enfer :
- http://www.mondedemain.org/articles.php?id=f006
- http://www.mondedemain.org/articles.php?id=f247

Remercions Dieu et gloire à son Saint Nom.

Ichtus02 a dit…

Bonjour Denis,

Il y a un certain danger dans ta démarche. Tu as pris le parti dès le départ de rejeter la notion de perdition éternelle, puis tu as cherché un avis qui pouvait te conforter dans le postulat que tu t'es fixé au départ. pas étonnant donc que tu l'aies trouvé.

Pour ce qui est du site que tu mentionnes, c'est celui de la Pure vérité, une secte qui a dans le passé formulé pas mal de doctrines farfelues. Ce mouvement s'est scindé en deux et la moitié des membres, après recherche et etudes plus sérieuses de la Bible a rejoint la position évangélique sur le Christ, Israël et les peines éternelles.

Les tenants du site sont l'autre partie.

je prendrai le temps dans de futurs billets de développer le sujet qui est important. Mais une des preuves que l'idée de l'enfer éternel n'est pas incompatible avec l'amour de Dieu est que c'est le Christ Lui-même qui sera l'exécuteur de la sentence : Matthieu 25,41; Apoc 14,10.

D'autre part, c'est bien le mot éternel qui est appliqué à ce sujet dans toute la Bible :
- les flammes éternelles : esaïe 33,14
- le ver qui ne meurt point : Marc 9,48
- l'oprobre, la honte éternelle : Daniel 12,2
- la fournaise ardente : Mat 13,41-42.50
- le lieu des pleurs et des grincements de dents : idem
le châtiment éternel : Mat 25,46
- la ruine éternelle : 2 Thes 1,9
- le jugement éternel : Hébr 5,11 à 6,2
- jeté vivant dans l'étang de feu et de souffre : Apoc 19,20; 20,15

J'arrête là, mais il y a encore d'autres expressions. Promis : je développerai le sujet une autre fois.

Denis D. a dit…

Tout d'abord, merci infiniment de bien vouloir en débattre. Je ne sais pas si tu as bien lu les 2 articles ou si tu n'as tout simplement pas compris ce qui y était dit. En effet, ce n'est pas la notion de l'éternité qui est réfutée mais de souffrance éternelle. C'est là, TOUTE LA DIFFERENCE.

En effet dans le premier passage que tu m'as cité (Matthieu 25,41), il est clairement dit que le feu éternel a été préparé pour le diable et pour ses anges et, en aucun cas pour les humains qui n'auront pas accepté Dieu. Il est dit que ces mêmes humains seront jetés dans ce feu éternel dédié au diable et à ses anges pour une mort éternelle et non pas pour une souffrance éternelle. La nuance est subtile…

Dans le passage de Marc 9, Jésus décrivait la destruction, et non la torture des pécheurs.

Par ailleurs, voici ce qui est encore dit dans cette explication : "Qu’arrivera-t-il à ces individus maudits ? Continueront-ils à vivre éternellement ? Ou seront-ils entièrement consumés ? Voici ce que déclare la Bible au sujet de ce qui arrivera aux pécheurs incorrigibles – à ceux qui ont endurci leur esprit pour refuser de se repentir et d’obéir à Dieu : « Car voici, le jour vient, ardent comme une fournaise. Tous les hautains et tous les méchants seront comme du chaume ; le jour qui vient les embrasera, dit l’Eternel des armées, il ne leur laissera NI RACINE NI RAMEAU» (Malachie 4 :1).

Les méchants seront totalement détruits. Ils recevront en amende la mort éternelle et non pas, une souffrance éternelle. Malachie poursuit le récit : « Et vous foulerez les méchants, car ils seront comme de la cendre sous la plante de vos pieds, au jour que je prépare, dit l’Eternel des armées » (Malachie 4 :3).

Ceux qui ont fixé leur propre sort, ceux qui ont décidé de ne jamais se repentir de leur attitude et de leur nature méchante, seront totalement consumés et seront réduits en cendre ! Ils ne seront pas tourmentés à jamais, mais seront totalement annihilés !

Beaucoup de gens se demandent pourquoi Dieu, s’Il est juste, condamne-t-Il des gens à souffrir éternellement, bien qu’ils n’aient jamais eu l’occasion d’entendre, de croire ou d’appliquer vraiment l’Evangile ? La réponse est simple : Il ne le fait pas ! Dieu est juste et fidèle.

Ce sont Satan et ses démons qui seront tourmentés à jamais. Satan voudrait nous faire croire que son sort, en tant qu’être spirituel, sera celui des êtres humains ! Satan « a séduit toute la terre » (Apocalypse 12 :9). Contrairement à la propagande de Satan, Dieu ne permettra pas que les humains souffrent à jamais !

Veuillez remarquer l’étonnante déclaration de Jésus : « Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne » (Matthieu 10 :28). La géhenne, elle, existera éternellement pour le diable et ses anges.

Dans Romains 6:23, il est dit : "car le salaire du péché c'est la mort…", sous-entendu la mort éternelle - et non la souffrance. Dans Apocalypse 2:11, il est aussi dit : "Celui qui vaincra n'aura pas à souffrir la seconde mort…". On parle, là encore, de mort et non de souffrance éternelle. Je suis allé sur le site Top Chrétien pour y faire une recherche électronique dans la Bible et je n'ai trouvé aucun passage qui parle de souffrance éternelle…

Et comme Dieu nous le dit : « L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra » (Ezéchiel 18 :4 et 20). Les âmes mourront à jamais dans l’étang de feu, là où ceux qui rejettent le don divin de la vie éternelle récolteront le châtiment éternel – ils ne seront pas châtiés éternellement – pour leur rébellion contre Lui. Ils deviendront de la cendre, comme nous pouvons le lire dans Malachie 4 :3. Les cendres ne brûlent pas éternellement, pas plus que ne brûleront éternellement les âmes de ceux que Dieu détruira à jamais.

Satan est fâché contre Dieu, car il sait que sa destinée est l’étang de feu. Il veut convaincre les êtres humains qu’ils sont immortels par leur propre nature, plutôt que par un don futur que Dieu a promis aux véritables chrétiens lors de la résurrection. Si Satan réussit avec cette supercherie, il peut pervertir la compréhension des gens au sujet de l’amour de Dieu…

Ceci dit, si vous n'êtes toujours pas d'accord, j'attends votre éclairage.

Anonyme a dit…

I think, that you are not right. I can defend the position. Write to me in PM, we will discuss. le levitra I can not take part now in discussion - there is no free time. I will be free - I will necessarily write that I think.

Unknown a dit…

C faux malheureusement la mort phisique n est pas la mort spirituelle. L ame est eternelle et ne peut etre aneantie. La mort c est la privation de dieu, j en sait quelque chose je connait dieu depuis tout petit et je l ai longtemps rejeter pour le monde, il a finit par me ratraper alor que je voulai me suicider, il ma tout pardonner ma guerri phisiquement, ma donner une femme et un enfant. Merci seigneur. Je l ai fuit pdt longtemp sachant deliberement qu il avait un plan pour moi, j en ai fait ma gloire, je l ai hai, bruler sa parole, blasphemer, fait des choses horribles dont g honte et que je ne peut dire. Tout ca je l ai fai en connaissance de cause. Dieu ma abandonner a des etat de possessions etc... breff g enormement recu la grace de dieu dans ma vie, malgre toutes les choses dont g endurer je le savai toujours present comme le tenant et laboutissant de l epreuve/punition dont j etai l objet. G jamais voulu croire a l enfer et c est une des principale choses qui ma fait revenir en arriere tant de foi. Car je me voyait comme "chanceux" d avoir ete "elu" et sauver par la grace du seigneur jesus christ,et pouquoi les autre qui ne le connaissaient pas irai ils en enfer du fait qu ils sont pecheur tout autant que moi et meme moins. G fuis comme d habitude, me rassurant tout d abors comme toi me disant que les bonnes oeuvres pouvait faire que l on soit sauver. Mais c est par grace que l on ait sauver et non par les oeuvres afin que personne ne se glorifie. Une otre parole de la bible; la ou le peche a abonder, la grace a surabonder et a qui lon a beaucoup pardonner il y a beaucoup damour en retour. Ca a ete mon cas, si tu savait a quel point dieu est misericorde, et le sacrifice de jesus illustre cette misericorde, dieu a pris sur lui toute nos offenses, nos insultes, notre incredulite, car sa patience revele sa bontee. Croit tu que jesus christ dieu serai venu sur terre mourrir a notre place, endurer la honte et pour payer le pris de notre transgression pour celui qui place sa confiance en dieu si l enfer la damnation eternelle n etait pas reelle? Le symbole de la croix sur le mont golgotha celui de la mort est celui de la viictoire sur celle ci par le fait de croire. Celui qui ne veut pas croire est celui qui vit pour lui, qui trouve sa justification personnelle dans sa propre autorite. Tu me peut servir de maitre dieu et le monde(demon), si tu tatache a l un alor tu haira l otre(hair veut dire aimer moin en comparaison). On est fait ainsi.

Unknown a dit…

Souvent quant tu a envie et que tu sait cela comme etant mal et comme un peche si tu est croyant, si tu fait ce pecher volontairement en trasgression de la loi de dieu alor instinctivement apres ce pecher executer, outre le fait que tu te sent mal car tu as desobei, tu voile ta conscience et ne revient pas a dieu imediatement a cause de ce sentiment de honte dont personne n aime etre accuser.Ce sont vos transgressions qui mettent une separation entre vous et dieu. Le salaire du peche c est la mort. Elle est d abord spirituelle, c est a dire que quand tu peche tu rejette dieu par toi meme dans ton intellect parce que tu prefere le pecher a dieu et tu fini par attenuer ta conscience. Tu met dieu de cote car ton pecher a pris la premiere place. Tu l aime moin en comparaison. L amour s entretiend, comme tout. Tu ne peut te glorifier toi meme de tes oeuvre et en meme temps glorifier dieu qu il t ai fait si glorieux. celui qui seleve sera abaisser, et celui qui sabaisse sera elever. Cest le desir du pouvoir par la connaissance ou par la force qui rend l homme mechant, qui s auto justifie au profit des plus faibles, de croire que par ses propres forces ont est capable d entrer dans les bonnes graces de dieu. Donc en elevant notre esprit par nous meme par la connaissance on se rend l egal de dieu, c est a dire qu on l abaisse a notre niveau. Donc nous somme dieu et dieu est soumi a notre valeur du jugement. Il passe apres nous. On fini par sen foutre ou le mettre de notre cote. Si l on s humile alor on elevera dieu dans notre esprit et nous pourrons nous elever a sa suite.Tout ca pour dire qu il nexiste aucun athee convaincu, il le sont car ils l ont voulut ils l on rejetter en trouvant leur satisfaction dans l ephemere et le peche a endurci leur coeurs. Ceux qui revendiquent etre athee en on fait leur religion.ils se rassurent ou bien se cachent derriere. Dotre plus honnete le sont par default. Mais dieu travail chaque coeurs. Ceux qui cultivent les plaisir de la chaire(le materialisme), on en comparaison moin d attrait pour tout ce qui releve de l esprit. Il sont deja mort car ils vivent pour mourrir. L enfer est rel et il est sous terre, beaucoup de textes dans la bible le prouve. Et puis c est le contraire du paradis le bonheur eternel. Je sai c est dure mais c eqt la stricte verite. Dieu est amour et aussi justice, sa colere est un feu devorant qui se declare contre toute impietee.. dsl je ne connait pas les emplacement dans la bible des passages que je cite de memoire. Bien a vous.