Cadeau surprise !
Il y a quelques semaines chaque habitant de Gauchy (02), la ville où j’habite, a eu la surprise de recevoir gratuitement un livre agrémenté de nombreuses photos retraçant l’histoire des 35 dernières années de la cité (1972-2007). Ce cadeau souvenir m’a inspiré la réflexion suivante, réflexion partagée à la population sous forme d’un bulletin intitulé « Grain de sel » distribué récemment dans la ville.
L’album de famille de Gauchy
Un album de famille est toujours un livre à part. Car, s’il n’évoque rien pour des étrangers, il est, pour ceux qu’il concerne, comme un livre de vie. Faisant resurgir de la mémoire des visages, des évènements, des faits parfois oubliés, il retrace la trame de l’histoire, notre histoire. Il nous rappelle que le présent n’est pas dû au hasard, mais aux choix pris dans le passé. Il souligne également que nous ne sommes pas passifs, mais pleinement acteurs de ce qui se passe et se déroule dans le temps. Antoine de Saint-Exupéry, cité dans l’album, a raison lorsqu’il dit : « Dans la vie, il n’y a pas de solutions ; il y a des forces en marche ; il faut les créer et les solutions suivent. »
Si l’album reçu peut être feuilleté avec intérêt par de nombreux curieux, il est surtout destiné à la famille gasiaquoise. Les auteurs l’ont voulu ainsi. Ils ont considéré que des liens particuliers unissent ceux qui, dans un même lieu, travaillent ensemble pour construire leur devenir communautaire. Le livre rend ainsi hommage, non seulement aux acteurs présents de la vie locale, mais, dans son introduction, à ceux qui nous ont quitté et qui ont contribué, chacun pour leur part, au visage du Gauchy d’aujourd’hui. On ne peut regretter qu’une chose : c’est que l’idée d’un tel album n’ait pas germé plus tôt, lorsque Gauchy n’était qu’au début de sa vie. Nous aurions alors eu un livre unique et remarquable. Un condensé certes, mais le compte-rendu total de l’histoire de la cité depuis sa genèse, son commencement.
L’album de famille de l’humanité
La genèse, le commencement ! C’est justement avec ces mots que débute un autre album de famille. Un album qui dépasse les frontières d’une cité, mais qui englobe tous les hommes et toutes les nations. Car, que nous le voulions ou non, nous faisons tous partie de la même famille, celle de l’espèce humaine. Nous devons tous notre existence à la même volonté : celle de Dieu, le Créateur. A l’heure de la mondialisation, nous devrions le comprendre. Des liens étroit nous unissent tous. Nous sommes tous issus du même sang et venons tous de la même famille humaine originelle.
Contrairement à l’album de famille de Gauchy, qui ne retrace que les 35 dernières années de l’histoire de la ville, l’album de famille de l’humanité, la Bible, retrace notre histoire à tous dès ses origines. Elle nous relate les grands drames qui sont la cause de l’état du monde actuel, le premier étant l’illusion qu’a l’homme de croire qu’il peut lui-même décider de ce qui est bien et mal pour sa propre vie. Elle nous raconte les initiatives prises par les premières générations d’hommes pour organiser leur vie sociale sans Dieu : l’idée de se regrouper dans des villes, la naissance des arts, de la science, de la culture du divertissement… mais aussi des armes de guerre. Elle nous parle très tôt de la volonté humaine de choisir d’autres cadres éthiques que ceux établis par Dieu : Lémek, fils de Caïn, le premier, devient polygame. Elle témoigne enfin de la rapidité avec laquelle le meurtre, l’intolérance, la soif de pouvoir et la violence vont remplir l’humanité. Au point où Dieu, par un déluge, décide une première fois, de rayer l’humanité de la carte.
L’album de famille de Dieu
La Bible n’est cependant pas que l’album de famille de l’humanité. Elle est aussi celui de Dieu. Si l’humanité, dès son commencement, part à la dérive, Dieu ne se résout pas à l’échec de Son projet avec elle. De plusieurs manières, Il choisit d’intervenir dans l’histoire. Il se révèle à des hommes, comme Moïse, à qui Il donne une loi, les dix commandements, véritable charte universelle du bien et du mal. Puis, de multiples manières, il se fait acteur et décideur du cours des choses, favorisant l’éclosion d’une civilisation et jugeant une autre.
Par Jésus-Christ enfin, Il décide de venir habiter parmi nous. Il entre physiquement dans la famille humaine, devient citoyen, comme nous, à part entière, de la terre. Là, il incarne alors ce qu’est l’homme, le vrai, le parfait, le juste, celui qu’aucun de nous n’arrive à être. En un temps record (à peine 3 ans), il pose pour des siècles les bases d’une pensée, d’une éthique qui vont façonner la manière de penser et de vivre de nations entières jusqu’à nos jours. Puis, Il va opérer l’acte unique, le plus impensable qui se soit produit pour l’humanité : opérer la réconciliation des hommes avec Dieu en acceptant, par la mort, de subir le jugement dû à leurs égarements.
L’album de ta vie
Dans l’album de ma vie personnelle, il y a clairement deux époques. La première retrace les années où je vivais pour moi-même, mes désirs, mes idées. Peu de vraie joie, beaucoup de vanités, de souffrances, de frustrations, de colère, de mauvaise conscience… Et puis, il y a une seconde partie. Elle n’est pas parfaite, mais témoigne cependant d’un changement d’orientation radicale. Elle y parle de moments de joie et de paix inconnus jusqu’alors, de satisfaction, de réconciliation, de pardon. Elle ouvre un chapitre nouveau : celui d’une espérance sans fin où la mort même doit rendre les armes, s’incliner. Ce chapitre, cette seconde partie a commencé pour moi le jour où j’ai consciemment, volontairement, confié les rênes de ma vie à Jésus-Christ. Depuis, elle ne m’appartient plus. Elle n’est plus liée à ce que je suis seulement, mais à ce qu’Il est.
Et ta vie ? Quel message les pages de l’album qui la constituent, communique-t-il ? Et surtout où se termine-t-il ? Jésus l’affirme : Celui qui croit en Moi vivra, même s’Il meurt ! Aujourd’hui, choisis la Vie !
L’album de famille de Gauchy
Un album de famille est toujours un livre à part. Car, s’il n’évoque rien pour des étrangers, il est, pour ceux qu’il concerne, comme un livre de vie. Faisant resurgir de la mémoire des visages, des évènements, des faits parfois oubliés, il retrace la trame de l’histoire, notre histoire. Il nous rappelle que le présent n’est pas dû au hasard, mais aux choix pris dans le passé. Il souligne également que nous ne sommes pas passifs, mais pleinement acteurs de ce qui se passe et se déroule dans le temps. Antoine de Saint-Exupéry, cité dans l’album, a raison lorsqu’il dit : « Dans la vie, il n’y a pas de solutions ; il y a des forces en marche ; il faut les créer et les solutions suivent. »
Si l’album reçu peut être feuilleté avec intérêt par de nombreux curieux, il est surtout destiné à la famille gasiaquoise. Les auteurs l’ont voulu ainsi. Ils ont considéré que des liens particuliers unissent ceux qui, dans un même lieu, travaillent ensemble pour construire leur devenir communautaire. Le livre rend ainsi hommage, non seulement aux acteurs présents de la vie locale, mais, dans son introduction, à ceux qui nous ont quitté et qui ont contribué, chacun pour leur part, au visage du Gauchy d’aujourd’hui. On ne peut regretter qu’une chose : c’est que l’idée d’un tel album n’ait pas germé plus tôt, lorsque Gauchy n’était qu’au début de sa vie. Nous aurions alors eu un livre unique et remarquable. Un condensé certes, mais le compte-rendu total de l’histoire de la cité depuis sa genèse, son commencement.
L’album de famille de l’humanité
La genèse, le commencement ! C’est justement avec ces mots que débute un autre album de famille. Un album qui dépasse les frontières d’une cité, mais qui englobe tous les hommes et toutes les nations. Car, que nous le voulions ou non, nous faisons tous partie de la même famille, celle de l’espèce humaine. Nous devons tous notre existence à la même volonté : celle de Dieu, le Créateur. A l’heure de la mondialisation, nous devrions le comprendre. Des liens étroit nous unissent tous. Nous sommes tous issus du même sang et venons tous de la même famille humaine originelle.
Contrairement à l’album de famille de Gauchy, qui ne retrace que les 35 dernières années de l’histoire de la ville, l’album de famille de l’humanité, la Bible, retrace notre histoire à tous dès ses origines. Elle nous relate les grands drames qui sont la cause de l’état du monde actuel, le premier étant l’illusion qu’a l’homme de croire qu’il peut lui-même décider de ce qui est bien et mal pour sa propre vie. Elle nous raconte les initiatives prises par les premières générations d’hommes pour organiser leur vie sociale sans Dieu : l’idée de se regrouper dans des villes, la naissance des arts, de la science, de la culture du divertissement… mais aussi des armes de guerre. Elle nous parle très tôt de la volonté humaine de choisir d’autres cadres éthiques que ceux établis par Dieu : Lémek, fils de Caïn, le premier, devient polygame. Elle témoigne enfin de la rapidité avec laquelle le meurtre, l’intolérance, la soif de pouvoir et la violence vont remplir l’humanité. Au point où Dieu, par un déluge, décide une première fois, de rayer l’humanité de la carte.
L’album de famille de Dieu
La Bible n’est cependant pas que l’album de famille de l’humanité. Elle est aussi celui de Dieu. Si l’humanité, dès son commencement, part à la dérive, Dieu ne se résout pas à l’échec de Son projet avec elle. De plusieurs manières, Il choisit d’intervenir dans l’histoire. Il se révèle à des hommes, comme Moïse, à qui Il donne une loi, les dix commandements, véritable charte universelle du bien et du mal. Puis, de multiples manières, il se fait acteur et décideur du cours des choses, favorisant l’éclosion d’une civilisation et jugeant une autre.
Par Jésus-Christ enfin, Il décide de venir habiter parmi nous. Il entre physiquement dans la famille humaine, devient citoyen, comme nous, à part entière, de la terre. Là, il incarne alors ce qu’est l’homme, le vrai, le parfait, le juste, celui qu’aucun de nous n’arrive à être. En un temps record (à peine 3 ans), il pose pour des siècles les bases d’une pensée, d’une éthique qui vont façonner la manière de penser et de vivre de nations entières jusqu’à nos jours. Puis, Il va opérer l’acte unique, le plus impensable qui se soit produit pour l’humanité : opérer la réconciliation des hommes avec Dieu en acceptant, par la mort, de subir le jugement dû à leurs égarements.
L’album de ta vie
Dans l’album de ma vie personnelle, il y a clairement deux époques. La première retrace les années où je vivais pour moi-même, mes désirs, mes idées. Peu de vraie joie, beaucoup de vanités, de souffrances, de frustrations, de colère, de mauvaise conscience… Et puis, il y a une seconde partie. Elle n’est pas parfaite, mais témoigne cependant d’un changement d’orientation radicale. Elle y parle de moments de joie et de paix inconnus jusqu’alors, de satisfaction, de réconciliation, de pardon. Elle ouvre un chapitre nouveau : celui d’une espérance sans fin où la mort même doit rendre les armes, s’incliner. Ce chapitre, cette seconde partie a commencé pour moi le jour où j’ai consciemment, volontairement, confié les rênes de ma vie à Jésus-Christ. Depuis, elle ne m’appartient plus. Elle n’est plus liée à ce que je suis seulement, mais à ce qu’Il est.
Et ta vie ? Quel message les pages de l’album qui la constituent, communique-t-il ? Et surtout où se termine-t-il ? Jésus l’affirme : Celui qui croit en Moi vivra, même s’Il meurt ! Aujourd’hui, choisis la Vie !
Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus
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