Oh soleil soleil
Quand le ciel sera moins gris
Il me tendra les bras
Un jour comme un ami
Il nous reviendra
Mais je veux déjà
Chanter pour toi
Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil
Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil
Viens sors enfin de la nuit
Et l'hiver s'en ira
Viens toi qui fait de la pluie
Un grand feu de joie
On attend que toi
Réveilles-toi
Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil
Oh soleil soleil soleil soleil soleil soleil
Nana Mouskouri
Le soleil ayant brillé par son absence ce mois de juin, je vous propose de vous réchauffer ici à ses rayons. « Le soleil change souvent d’horizon et de théâtre, afin que la privation le fasse désirer quand il se couche, et que la nouveauté le fasse admirer quand il se lève », a dit Balthazar Y Morales. Savez-vous que la Bible compare Dieu au soleil ? Quelles ressemblances l’astre brillant a-t-il avec son Créateur ? Quelle différences aussi ? C’est ce que je vous propose de découvrir.
Le soleil : l’astre du jour
Dès sa création, la Bible souligne la raison d’être du soleil. Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans le ciel pour séparer le jour et la nuit ! Qu’ils servent de signes pour marquer les rencontres festives, les jours et les années. Le soleil est un signe qui sépare deux mondes : celui du jour et celui de la nuit. Lorsque le soleil se lève, c’est le jour qui paraît. Lorsqu’il se couche, la nuit arrive. Les mêmes effets se produisent avec Dieu dans la vie individuelle et collective des hommes. Dieu, le Dieu de la Bible présent, c’est toute la vie, avec ce qu’elle a de meilleur, qui s’éclaire. Dieu chassé, exclu, ou ignoré, les nations, comme les hommes, ne tardent pas à tomber dans la plus horrible nuit. Or, la nuit, nous le savons, est le moment le plus propice à tous les abus, tous les crimes et toutes les lâchetés. Qui craindre si Dieu n’existe pas ? « Ta lumière, ô Dieu, voilà ce dont nous avons besoin ! »
Le soleil : l’astre aveuglant
Qui peut de ses yeux fixer le soleil ? Ceux qui ont assisté à l’éclipse du 11 août 1999 s’en souviennent. Des lunettes spéciales étaient nécessaires pour l’événement. La seule vue du soleil suffit à rendre aveugle. A Moïse qui voulait Le voir, Dieu répondit : Tu ne peux Me voir en face, car l’être humain ne peut me voir et vivre. Comme pour le soleil, impossible à quiconque de supporter la vision de l’éclat de Dieu. La beauté du soleil n’est pourtant pas inaccessible. Il suffit d’une pluie pour que sa lumière, invisible, se décompose soudain en un magnifique arc-en-ciel. Personne, dit la Bible, n’a jamais vu Dieu. Dieu a trouvé cependant un objet, une personne dans laquelle toutes les nuances de Sa personnalité peuvent se projeter : Jésus-Christ. « La connaissance de la gloire de Dieu resplendit sur le visage du Christ, dira l’apôtre Paul. « Montre-nous le Père ! demanda Philippe à Jésus. » « Il y a si longtemps que Je suis avec vous, et tu ne Me connais pas, Philippe ? Celui qui M’a vu a vu le Père ! répondra Jésus ».
Le soleil : l’astre bienfaisant
Pouvez-vous imaginer un monde sans soleil ? Adieu la chaleur, les fruits savoureux, l’éclat des couleurs… Le paysage devient morne, la vie insipide, l’atmosphère triste. Les psychiatres le savent bien. Les longs mois d’hiver sont les plus propices aux dépressions. Rien de telle qu’une bonne cure de soleil pour remonter le moral. Telle est, trop souvent, la vie sans Dieu : une routine débilitante, un ras-le-bol croissant, un chemin de mort. « Moi, dit Jésus, Je suis la lumière du monde ; celui qui Me suit ne marchera jamais dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie ». Toutes Ses paroles sont comme les rayons bienfaisants du soleil. « Venez à Moi, vous qui peinez sous une charge trop lourde ; Je vous donnerai du repos ». « Celui qui vient à Moi n’aura jamais faim, et celui qui met sa foi en Moi n’aura jamais soif ». « Je suis venu chercher et sauver ce qui était perdu ». Quel qualificatif décrit le mieux votre vie aujourd’hui : fade, terne, vide, décevante ? Gorgez-vous, cet été, des paroles du Christ : le soleil de Dieu, avec sa lumière et ses rayons, ne tardera pas à entrer dans votre âme !
Le soleil : l’astre terrible
Les 10 000 victimes françaises de la canicule de l’été 2003 nous le rappellent. Le soleil peut être terrible. Sa chaleur est telle qu’elle dessèche tout. Sous ses rayons, ce qui était vivant hier, dépérit aujourd’hui et meurt demain. La Bible prévoit, sous l’effet du soleil, des jours futurs difficiles. « Le quatrième ange répandit sa coupe sur le soleil. Il lui fut donné de brûler les humains par le feu, et les humains furent brûlés par une chaleur torride. Ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a le pouvoir sur ces fléaux, et ils ne revinrent pas pour Lui donner gloire. » . On a trop souvent tendance, au sujet de Dieu, de ne parler que de Sa bonté. La Bible dit aussi qu’Il est un feu dévorant et que c’est une chose terrible de tomber entre Ses mains. Après avoir patienté des siècles, le Christ, dit Paul, reviendra comme un feu flamboyant pour faire justice . Une seule chose, précise la Bible, permet à l’homme de se mettre à l’abri du feu de la colère de Dieu : sa foi dans le pardon offert par le Christ. Comment allez-vous rencontrer Dieu ?
Le soleil, l’astre universel
Le soleil n’appartient à personne. Il est à tous. Petits ou grands, noirs ou blancs, riches ou pauvres, tous peuvent en bénéficier. Dieu, dit l’Evangile, fait lever son soleil sur les mauvais et les bons. C’est un cadeau qu’Il fait à tous, sans distinction de valeur, de mérite, de niveau intellectuel ou de condition sociale. Il nous rappelle ce qu’est le Christ pour l’humanité : un don gratuit de Dieu offert à tous. Le soleil se lève à l’Orient, puis poursuit sa course jusqu’à l’Occident. Après avoir fait le tour de la planète, il revient à son point de départ. Telle est aussi la Bonne Nouvelle de l’Evangile du Christ. Partie d’Israël, elle s’est mise en route pour illuminer le monde. Eclairant les régions les plus ténébreuses, elle apporte, partout où elle est reçue, vie et espoir. Est-elle entrée chez vous ? Avez-vous ouvert les volets de votre cœur à Ses rayons bienfaisants ? Vous pourrez alors dire comme l’aveugle guéri par Jésus : « Je sais une chose ; j’étais aveugle et maintenant je vois. »
Le soleil, un astre provisoire
Le jour vient où le soleil n’existera plus. Parlant de la ville de Dieu au ciel, la Jérusalem nouvelle, l’apôtre Jean écrit : La ville n’a besoin ni du soleil ni de la lune pour y briller, car la gloire de Dieu l’éclaire, et sa lampe, c’est l’Agneau (le Christ)… Il n’y aura plus de nuit. Le soleil, avons-nous dit, a été créé pour marquer les époques. L’éternité arrivée, il ne sera plus, comme toutes choses liées au temps. Deux subsisteront : Dieu et vous-mêmes. Réfléchissez-y ! Bonnes vacances sous le soleil de Dieu !
P . S : cette semaine dans le journal l’Express, page courrier des lecteurs, des extraits du billet intitulé ci-dessous « Pauvre Bible » et la réaction du médiateur du journal.
Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus
2 commentaires:
Bonjour M. Georgel, j'ai une question pour vous, je n'ai pas de réponse mais avant tout ceci, je fais une petite mise en contexte.
Ici au Québec il y a présentement une comission d'enquête qui se penche sur l'effondrement du pont de la Concorde à Laval en banlieue de Montréal. Ce viaduc s'est effondré en septembre dernier faisant plusieurs morts. Cette comission d'enquête vise à éclaircir les circonstances de l'accident et vise à prévenir de futures catastrophes du genre. Il est possible qu'il y a eu négligence lors de la construction de ce pont et il n'est pas écarté qu'il y aie des poursuites en justice.
Maintenant voici ma question: si Dieu a vraiment construit la Terre et les astres tel que vous le mentionnez, pourquoi tant de failles? Pourquoi les Tsunamis, les tremblement de terre, les volcans destructeurs, la grêle qui détruit les récoltes et les ouragans? Pourquoi cet astre du jour tue 10000 personnes?
Devrions-nous envisager un recours collectif contre le créateur? Est-ce cela le "Intelligent desing"...il me semble que le créateur aie commis plusieurs erreurs de calcul....et ce déluge supposément pour punir et tuer ce qu'il avait créé....si l'homme procédait de cette façon pour détruire des choses qu'il n'aime pas dirions-nous qu'il est bon et associé à Dieu ou dirions-nous qu'il est le démon?
Bonjour Dominique,
J'espère que tu vas bien et qu'il fait beau dans ton magnifique pays (j'ai cru comprendre que tu vis au Québec). D'une certaine façon, nous sommes un peu cousin. Je suis vosgien d'origine, avec un certain accent fort ressemblant à celui des québequois... si bien qu'on m'a déjà demandé si je venais de là-bas
Je ne sais pas où tu vis, mais je suppose que tu apprécies les lacs, les montagnes, les immenses prairies, les petits fruits. Le cadre dans lequel nous vivons n'est pas pour rien dans le moral que nous avons.
Cette petite introduction n'est pas sans rapport avec la question que tu as posé. Relève-t-elle de la sincérité ou d'une certaine provocation, toi seul le sait. Pour autant, je ne vais pas l'equiver, mais essayer d'y répondre avec tout le sérieux possible du croyant face à l'honnête chercheur. Voilà donc que tu veux faire un procès à Dieu pour fabrication défectueuse de la planète terre. Une fois de plus (il commence à en avoir l'habitude) Dieu se trouve au banc des accusés.
Ne t'es-tu jamais posé la question de savoir ce qu'il en adviendrait de toi, de moi, et de toute l'humanité, si on inversait un tant soit peu cette position ? Si on laissait Dieu dresser la liste de tous les reproches qu'Il aurait à formuler contre nous, parce que nous n'avons pas été ce que nous aurions dû ? Si tu peux accepter l'idée que Dieu est à l'origine de tout ce que nous pouvons jouir, quand la dernière fois l'as-tu remercié pour le soleil, la pluie, la nourriture qui te permet de vivre, l'air qu'il te fournit pour réspirer, le magnifique équilibre de la nature, ta bonne santé, tes capacités et tout ce qui te procuire joie et bonheur dans la vie ? Tu as sans nul doute déjà été plongé d'admiration face à un coucher de soleil, un paysage fantastique, les merveilles de la vie et de la nature... Si tu ne l'as pas encore vécu, n'as-tu jamais été ému jusqu'aux larmes par la naissance d'un enfant (nous en avons 5).
Te rends-tu compte, cher Dominqiue, que chaque jour tu profites gratuitement de milliers de bienfaits ? Qu'as-tu fait, qu'as-tu mérité pour cela ? Considéres-tu cela comme un dû, une chose normale ?
Dieu, s'il existe, doit donner... Mais surtout, Il n'a pas le droit de reprendre. Bien plus, je dirais vulgairement qu'Il doit "la fermer", qu'Il n'a droit ni à la parole, ni à quelqconque appréciation, ni à aucun jugement sur la façon avec laquelle nous utilisons (dégradons, abîmons, abusons...) ce qu'Il nous donne. Bien plus encore, quand les choses ne vont pas comme on les pense, il est sommé de s'expliquer, de se justifier, de donner des raisons... Tout de même ! Qui est Dieu : c'est nous, pas Lui ?
Excuse-moi du ton ! Mais voilà l"absurdité dans laquelle se trouve tous ceux qui, comme toi, osent faire un procès d'intention à Dieu. Enfin, ne crois-tu pas que si Dieu existe, et s'Il n'était pas infiniment patient, cela fait longtemps que ni toi, ni moi, ne serions encore là ? Rien qu'à voir l'univers, qui, d'après la Bible, tient à peine dans la paume de sa main, franchement qui sommes-nous pour oser penser que nous pouvons taxer Dieu d'incohérence, d'esprit défectueux ou en quelque sorte de Créateur raté... Il serait temps de nous raviser car, malgré toute la science dont nous nous targuons, et les vrais scientifiques le savent, nous ne Lui arrivons pas à la cheville.
Puisque tu n'es pas le premier à faire ce type de proçès à Dieu (en fait dans tous les temps des hommes ont lever le poing vers Dieu pour Lui dire toute leur haine quand les choses ne vont pas comme ils le pensent... tout en manifestant le reste du temps un complet mépris et une parfaite indifférence à l'égard de tout ce qui va bien..., je me permets d'ouvrir la Bible pour te donner quelques pistes de réflexion supplémentaires en réponse à ta question :
1. Les dispositions de Dieu à l'amour envers nous nous sont devenues tellement naturelles que nous ne les réalisons pas. "Dans les siècles passés, dit Paul, ce Dieu a laissé les peuples agir comme bon leur semblait. Et pourtant, il n'a cessé de leur donner des preuves de son existence et des témoignages de ce qu'il est. En effet, il vous a manifesté sa bonté par d'innombrables bienfaits : c'est lui qui vous envoie, du haut du ciel, les pluies qui fécondent la terre, lui qui régit les saisons et vous accorde des fruits abondants. Oui, c'est lui qui pourvoit à votre subsistance et remplit vos coeurs de joie : livre des Actes, chapitre 14, verset 17. "Dieu fait lever son soleil sur les mauvais et les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et les injustes, dit Jésus : Evangile selon Matthieu, chapitre 5, verset 46. C'est ce qu'on appelle en langage théologique : la grâce naturelle. Imagine le monde si Dieu n'acceptait de faire du bien qu'à ceux qu'Il estime digne de cela. Heureusement pour nous, Dieu ne fonctionne pas comme cela. En cela aussi, Il diffère beaucoup de nous.
2. "Dieu, dit encore Paul, manifeste sa colère, du haut du ciel, aux hommes impies qui ne lui apportent pas l'honneur et le respect qui lui sont dûs et qui, par leur perversité, étouffent la vérité et la retiennent captive de leur méchanceté. En effet, nul n'est dépourvu de la notion du vrai Dieu. Tous les hommes ont une connaissance innée de lui, lui-même l'ayant placée avec netteté dans leur coeur. Depuis la création du monde, les oeuvres de Dieu parlent à la pensée et à la conscience des hommes de ses perfections invisibles : quiconque sait regarder, peut y discerner clairement sa divinité et sa puissance. Aussi, depuis les temps anciens, les hommes qui ont sous les yeux la terre et le ciel et tout ce que Dieu a créé, ont connu son existence et son pouvoir éternel. Ils n'ont donc aucune excuse de dire qu'ils ne savent pas qu'il y a un Dieu. Ils ont eu conscience de Dieu, ils ont su qu'il existait, mais ils ont refusé de l'adorer ou même de le remercier pour ses dons. Alors ils se sont perdus dans des raisonnements insensés et des spéculations futiles : à force de sonder le néant et de discuter dans le vide, leur pensée s'est égarée, leur intelligence s'est dégradée, leur esprit borné est devenu la proie des ténèbres. Plus ils se prétendent intelligents, plus ils s'enfoncent dans leur folie, cachant leur ignorance sous les grands mots de "science" ou de "philosphie"... J'arrête ici : lettre de Paul aux romains, chapitre 1, verset 18 à 21... écrite il y a près de 2 000 ans. (je t'encourage à lire la suite dans le Nouveau testament).
Que dit ce texte ? Oui, il y parle de la colère de Dieu, la même qui te saisisrait, Dominique, si tu avais en face de toi un homme d'une malhonnêteté criante, qui sait où se trouve la vérité, mais qui persiste à refuser de l'admettre. Dieu ne supporte pas le fait que, en ayant sous les yeux Sa création, on rejette l'évidence du Créateur au profit de la "logique" absurde du hasard. C'est ce que j'ai voulu te dire la dernière fois : Dieu est tellement flagrant que seul un aveuglement d'ordre spirituel fait qu'on ne le discerne pas (ou une profonde malhonnêteté qui choisit d'opter pour ce qui arrange).
3. Dieu étant Créateur, Il a le droit de se rappler à nous de temps à autre... de nous rappeler l'inconvenance de notre orgueil et la réalité de notre fragilité et de notre totale dépendance de Lui. Au sujet d'hommes victimes d'une catastrophe en son temps, Jésus, à qui l'on ne peut faire le procès de manquer d'amour, a tenu le langage suivant :" croyez-vous que ces dix-huit personnes qui ont péri de la sorte aient été plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, pas du tout; mais vous, si vous ne changez pas, vous périrez tous. Ce qui se produit autour de nous n'est pas le hasard. le monde ne peut indéfiniment se moquer de Dieu comme Il le fait. Sa patience a aussi des limites. Nous ferions bien, au regard de ce qui ébranle régulièrement notre monde, nous poser d'autres types de question quye celles, bien superficielles, qui nous amène à faire des procès irréfléchis à Dieu
4. Dernier point : Le monde définitif dans lequel nous sommes appelés à vivre n'est pas cet univers. Celui-ci est le lieu du mélange, de la confrontation permanente en tre Dieu et les forces qui lui sont opposées. Car, comme Jésus, je crois à l'activité d'une puissance mauvaise qui trompe l'homme et déforme la réalité. La Bible nous avertit du grand bouleversement final qui va mettre fin à ce monde et introduira celui qui vient. Jésus appelle notre temps, le temps des douleurs de l'enfantement. Avant la naissance, toute femme le sait, les contractions deviennent de plus en plus répétées et de plus en plus fortes. "Aujourd'hui Dieu nous déclare, dit la Bible : "Une fois encore j'ébranlerai, non seulement la terre, mais aussi le ciel. Ces mots "une fois encore..." nous annoncent la transformation et la disparition définitive de tout ce qui peut être ébranlé, c'est-à-dire de tout ce monde créé et périssable. Seules subsisteront les réalités inébranlables parce qu'elles sont éternelles : Lettre aux Hébreux, chapitre 12, verset 26 et 27.
Jj'en termine là. Si Dieu est amour, Il est aussi justice. Le mal n'a aucun point commun avec sa nature. Il promet un monde où il n'existera plus et n'affectera plus l'être de quiconque. Par Jésus-Christ, Il nous offre un pardon taotal, gratuit, immédiat... pour autant que l'on reconnaisse en avoir besoin... c'est-à-dire avoir péché = manqué le but pour lequel nous aurions du vivre.
Bien cordialement
Gilles Georgel
P.S : même long, cet exposé court le risque de tout résume : celui de ne pas être assez développé et de donner une vision trop caricaturale. le mieux serait de lire toute la Bible pour comprendre comment Dieu pense... avant de le juger. Fait-on le procès à un homme que l'on refuse d'entendre ? Alors pourquoi Dieu ?
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