Le mystère de la mort
Reconnaissons d’abord que parler de la mort, et de ce qui la suit, n’est pas chose facile. Nous abordons là un domaine qui, de manière évidente, échappe à notre capacité d’investigation. Dans son livre « les Thanatonautes », Bernard Werber dit : « L’homme a tout exploré : le monde de l’espace, le monde sous-marin, le monde souterrain ; pourtant il lui manque la connaissance d’un monde : le continent des morts. » On peut certes envoyer des hommes sur la lune ou essayer de découvrir les limites de l’univers aux moyens de télescopes puissants. Mais l’au-delà : qui peut fouler le continent des morts, puis y revenir pour nous raconter ce qu’il a vu ?
L’omniprésence de la mort
Que nous l’avouons ou non, la mort, pour plusieurs raisons, ne cesse de nous obséder. Par le fait d’abord qu’elle est omniprésente et que chaque jour, d’une manière ou d’une autre, elle se rappelle à nous. Pas un journal d’information, pas une journée ne se passe sans que, quelque part, il ne soit fait mention de la mort. Ici, c’est une célébrité qui disparaît ; là, ce sont des actes terroristes ou des calamités naturelles qui frappent aveuglément des populations entières. La mort est si imprévisible que personne, si riche ou si débordant de vie soit-il, ne peut parier avec certitude qu’il finira l’aujourd’hui. Personne, dit la Bible, n’est maître de son souffle, pour le retenir ; nul n’a de pouvoir sur le jour de la mort (1). Combien se sont levés le matin pleins de projets pour se retrouver l’après-midi même dans le monde des morts… où tout objectif est dépassé.
Le roi des terreurs
La mort ne nous obsède pas seulement : elle nous effraie. La Bible l’appelle le roi des terreurs (2). Les rites nombreux qui, dans les diverses civilisations, entourent la mort, en témoignent. Selon Josée Lartet-Geffard, « autour des rites apparaît le désir de donner un sens à la mort, de tenir la peur qu’elle inspire à distance et la volonté d’établir une relation pacifiée avec les défunts. Par les rituels funéraires ou la commémoration des disparus, les vivants manifestent aussi le désir de s’assurer un traitement favorable au moment de leur propre décès. » Selon les lieux et les époques, les manières de faire changent. Toujours cependant se dégage la même réalité : on ne peut se résoudre à la mort comme le terminus final de la vie.
Jésus et la mort
Vivant sur terre, Jésus, comme nous, n’échappa pas à la question de la mort. Il fut Lui aussi souvent ému jusqu’aux larmes par la perte cruelle qu’elle occasionnait (3). C’est pourquoi l’une de Ses œuvres majeures fut, à trois reprises, de ressusciter des morts. Il témoignait par là de l’anomalie que représentait, dans le plan de Dieu pour l’homme, le phénomène de la mort. C’est pour la Vie que nous avons été créé. La mort est le salaire du péché (4), la preuve par excellence, s’il en est, que nous sommes coupés, séparés de Dieu. Or, le but même de la venue de Jésus est de nous réconcilier avec Dieu, de renouer le fil rompu de notre relation amicale avec Lui. Il faudra donc que Jésus passe par la mort, qu’Il endosse sur Lui et prenne à Son compte le châtiment ultime que méritent nos fautes. Jésus mourra donc de la pire des morts. Il prendra sur Lui toute l’angoisse que représente l’enfer, l’état d’abandon et de séparation définitif d’avec Dieu. Ce faisant, dit la Bible, Il délivre tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient retenus dans l’esclavage toute leur vie ( 5)
Se préparer à la mort
Bien qu’effrayante, la mort a son utilité. Elle nous rappelle tous les jours la brièveté de la vie, le caractère éphémère de notre existence terrestre. C’est pourquoi, dit la Bible « mieux vaut aller à la maison de deuil que d’aller à la maison de banquet ; c’est dans celle-là que se trouve la fin de tout être humain, et le vivant doit y réfléchir. » (6) La vue du bureau dans lequel je travaille surplombe le cimetière de la ville. De là, je vois les tombes alignées de jeunes et de personnes âgées que la mort a fauché. Une question se presse en moi : où sont-ils ? Ont-ils faits, avant leur départ de ce monde, la paix avec Dieu ? Jésus nous dit : C’est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui met sa foi en moi, même s’il meurt, vivra ; et quiconque vit et met sa foi en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? (7)
(1) Ecclésiaste 8 : 8 (2) Job 18 : 14 (3) Jean 11 : 35 (4) Rom 6 : 23 (5) Hébreux 2,14
(6) Ecclésiaste 7 : 2 (7) Jean 11 : 25-26
Reconnaissons d’abord que parler de la mort, et de ce qui la suit, n’est pas chose facile. Nous abordons là un domaine qui, de manière évidente, échappe à notre capacité d’investigation. Dans son livre « les Thanatonautes », Bernard Werber dit : « L’homme a tout exploré : le monde de l’espace, le monde sous-marin, le monde souterrain ; pourtant il lui manque la connaissance d’un monde : le continent des morts. » On peut certes envoyer des hommes sur la lune ou essayer de découvrir les limites de l’univers aux moyens de télescopes puissants. Mais l’au-delà : qui peut fouler le continent des morts, puis y revenir pour nous raconter ce qu’il a vu ?
L’omniprésence de la mort
Que nous l’avouons ou non, la mort, pour plusieurs raisons, ne cesse de nous obséder. Par le fait d’abord qu’elle est omniprésente et que chaque jour, d’une manière ou d’une autre, elle se rappelle à nous. Pas un journal d’information, pas une journée ne se passe sans que, quelque part, il ne soit fait mention de la mort. Ici, c’est une célébrité qui disparaît ; là, ce sont des actes terroristes ou des calamités naturelles qui frappent aveuglément des populations entières. La mort est si imprévisible que personne, si riche ou si débordant de vie soit-il, ne peut parier avec certitude qu’il finira l’aujourd’hui. Personne, dit la Bible, n’est maître de son souffle, pour le retenir ; nul n’a de pouvoir sur le jour de la mort (1). Combien se sont levés le matin pleins de projets pour se retrouver l’après-midi même dans le monde des morts… où tout objectif est dépassé.
Le roi des terreurs
La mort ne nous obsède pas seulement : elle nous effraie. La Bible l’appelle le roi des terreurs (2). Les rites nombreux qui, dans les diverses civilisations, entourent la mort, en témoignent. Selon Josée Lartet-Geffard, « autour des rites apparaît le désir de donner un sens à la mort, de tenir la peur qu’elle inspire à distance et la volonté d’établir une relation pacifiée avec les défunts. Par les rituels funéraires ou la commémoration des disparus, les vivants manifestent aussi le désir de s’assurer un traitement favorable au moment de leur propre décès. » Selon les lieux et les époques, les manières de faire changent. Toujours cependant se dégage la même réalité : on ne peut se résoudre à la mort comme le terminus final de la vie.
Jésus et la mort
Vivant sur terre, Jésus, comme nous, n’échappa pas à la question de la mort. Il fut Lui aussi souvent ému jusqu’aux larmes par la perte cruelle qu’elle occasionnait (3). C’est pourquoi l’une de Ses œuvres majeures fut, à trois reprises, de ressusciter des morts. Il témoignait par là de l’anomalie que représentait, dans le plan de Dieu pour l’homme, le phénomène de la mort. C’est pour la Vie que nous avons été créé. La mort est le salaire du péché (4), la preuve par excellence, s’il en est, que nous sommes coupés, séparés de Dieu. Or, le but même de la venue de Jésus est de nous réconcilier avec Dieu, de renouer le fil rompu de notre relation amicale avec Lui. Il faudra donc que Jésus passe par la mort, qu’Il endosse sur Lui et prenne à Son compte le châtiment ultime que méritent nos fautes. Jésus mourra donc de la pire des morts. Il prendra sur Lui toute l’angoisse que représente l’enfer, l’état d’abandon et de séparation définitif d’avec Dieu. Ce faisant, dit la Bible, Il délivre tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient retenus dans l’esclavage toute leur vie ( 5)
Se préparer à la mort
Bien qu’effrayante, la mort a son utilité. Elle nous rappelle tous les jours la brièveté de la vie, le caractère éphémère de notre existence terrestre. C’est pourquoi, dit la Bible « mieux vaut aller à la maison de deuil que d’aller à la maison de banquet ; c’est dans celle-là que se trouve la fin de tout être humain, et le vivant doit y réfléchir. » (6) La vue du bureau dans lequel je travaille surplombe le cimetière de la ville. De là, je vois les tombes alignées de jeunes et de personnes âgées que la mort a fauché. Une question se presse en moi : où sont-ils ? Ont-ils faits, avant leur départ de ce monde, la paix avec Dieu ? Jésus nous dit : C’est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui met sa foi en moi, même s’il meurt, vivra ; et quiconque vit et met sa foi en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? (7)
(1) Ecclésiaste 8 : 8 (2) Job 18 : 14 (3) Jean 11 : 35 (4) Rom 6 : 23 (5) Hébreux 2,14
(6) Ecclésiaste 7 : 2 (7) Jean 11 : 25-26
Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus
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