Election
Dimanche dernier, nous étions près de 44,5 millions d’électeurs appelés aux urnes pour départager les 10 candidat(e)s qui postulaient à la présidence de la République. Chacun, au cours des nombreux débats qui ont eu lieu a eu le temps de se forger sa propre opinion sur le candidat qui, à ses yeux, incarne le mieux les idées et les valeurs qui comptent pour lui, ou semble faire preuve de la meilleure compétence pour le poste.
Si un panel de candidats est légitime lorsqu’il s’agit de faire des choix politiques, une question se pose : l’est-il aussi lorsqu’il s’agit de trouver le maître spirituel à qui se fier pour trouver des réponses aux questions les plus profondes. C’est ce que semble penser aujourd’hui notre société pluraliste. La vérité, pense-t-on, dans ce domaine n’est pas unique. Elle n’appartient pas à quelqu’un en propre. Elle est plurielle, et plutôt que d’adhérer à la Vérité, il est plus séant de dire que chacun adhère à sa vérité, celle qui lui semble la plus juste et la plus conforme à la réalité.
Rien n’est plus faux ! Si nous sommes condamnés, dans le domaine de la vérité, à nous satisfaire de l’approximation, alors, autant le dire tout de suite : il est inutile de chercher. Car ce dont a chacun a besoin, ce n’est pas d’hypothèses plus ou moins justes, mais de certitudes fondées non seulement sur de belles déclarations, mais sur une démonstration de preuves. Les enjeux sont trop importants. Je peux me tromper de candidat sur le plan politique. Si celui que j’ai voté me déçoit, ce ne sera pas la fin du monde. Tout autre en est-il si je place ma confiance en quelqu’un qui, sur les questions qui touchent à Dieu, au salut de l’âme ou à l’éternité, s’avère trompeur ou décevant. Je n’aurai alors pas de seconde chance pour me rattraper. Qui, parmi tous les maîtres spirituels qui nous sont proposés, a fait ses preuves ? Qui a démontré qu’il est en mesure de tenir ses promesses et de donner ainsi une réelle assurance à qui se fie à lui pour son avenir éternel ? Telle est la question cruciale qui est au cœur de notre humanité !
L’Elu
Tout le monde, c’est certain, peut prétendre être quelque chose. C’est à l’examen des faits et des œuvres que se confirment ou s’infirment les prétentions. De tous les postulants à la médiation entre Dieu et l’humanité, il n’y a pas photo. Un seul a démontré qu’il réunissait en sa personne tous les éléments destinés à rassurer quiconque a besoin de certitudes sur le sujet : Jésus de Nazareth. Vous faut-il quelqu’un qui, tout en étant homme comme vous, ne soit pas sujet aux faiblesses qui entachent si facilement la vie des autres hommes ? Jésus seul est à la hauteur. Ils ont été des milliers à vivre autour de lui, à le suivre, l’observer, l’épier pour trouver la faille. Ils n’en ont pas trouvé. Ils n’ont rien pu faire d’autre que de le condamner sur la déclaration de faux témoins. Même le juge Pilate l’a dit : Cet homme est innocent et n’a rien fait de mal. Il faut le relâcher !
Vous faut-il quelqu’un dont les actes sont en parfait accord avec les paroles ? Jésus seul l’est, totalement, intégralement. Aucune de ses affirmations, y compris les plus audacieuses, n’a pu, à l’épreuve des faits, être prises en défaut. A peine dit-il qu’Il est la résurrection et la vie qu’il ressuscite un mort, enseveli depuis 4 jours. Jésus aurait pu, pour ne pas trop choquer ou paraître prétentieux, y aller mollo sur lui-même. Il n’a jamais éprouvé ni gêne, ni honte à dire qu’il est le chemin, la vérité, la vie, que nul ne peut venir à Dieu qu’en passant par lui. Il a affirmé être la lumière du monde, la porte qui mène au royaume de Dieu, le seul vrai bon berger, le Fils unique de Dieu… Placées dans d’autres bouches, de telles paroles auraient été une preuve d’orgueil impensable ! Chez Jésus seul, elles sonnent justes, tant elles sont soutenues par des preuves effectives.
Si Jésus est l’Elu qu’il nous faut, ce n’est pas parce qu’il est meilleur et supérieur aux autres. C’est parce qu’Il est l’Elu de Dieu lui-même. A plusieurs reprises au cours de la vie de Jésus, une voix s’est faite entendre du haut du ciel. Elle a dit : Celui-ci est mon Fils élu : écoutez-le. Pour trouver quel est le meilleur Guide pour nous amener à Dieu, c’est Dieu lui-même qui doit le dire. C’est lui qui doit désigner le candidat qui a toute sa faveur. Il l’a fait pour Jésus. Non seulement, il a validé toutes ses paroles par les actes qu’il a accompli, mais, dit l’Evangile, trois jours après sa mort il l’a ressuscité. Il a glorifié celui que les hommes avaient rejeté.
Depuis, un seul message convient. Ne cherchez plus ! Faites confiance à Jésus ! Lui seul a le pouvoir de vous délivrer de l’errance et de vous conduire avec sûreté jusque dans l’éternité. Je le crois et je le sais !
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