samedi 19 mars 2011

Où allons-nous ?

Où allons-nous ?

La question devrait être au cœur de la réflexion de chacun. Car il y a là une évidence : les choses ne sont plus comme avant. A tous les niveaux, tout semble comme secoué, ébranlé. Une catastrophe est à peine terminée qu’une autre arrive. L’un après l’autre, les records sont battus. Comme une mer agitée, les peuples grondent. Tel un tourbillon, les crises succèdent aux crises. Les prix flambent, la précarité, l’instabilité s’installent.

Où allons-nous ? Les analystes sont nombreux… et pas toujours d’accord. L’histoire n’est jamais facile à comprendre. Elle est comme un coffre fort qui garde ses secrets. A moins qu’on ait la bonne combinaison et la bonne clé pour l’ouvrir !

La clé perdue de l’histoire

La clé perdue de l’histoire ne se trouve pas dans les journaux, mais dans un vieux livre. Avant que les choses ne se produisent, il les a déjà toutes annoncées. Ce livre nous dit, non seulement d’où nous venons, mais où nous allons. Il nous ouvre les yeux sur la logique de l’histoire. Car celle-ci, en effet, ne repose en rien sur le hasard. Elle suit un cours ordonné, précis. Ce qui se produit aujourd’hui a sa raison dans ce qui s’est passé hier. Ce qui arrivera demain est déjà dit. C’est l’aboutissement inévitable de tout ce qui a été construit, mis en place avant lui. Bien qu’oubliées par la plupart, la combinaison et la clé pour comprendre l’histoire restent accessibles. A tous ! A condition de faire preuve d’un minimum d’ouverture d’esprit !

La bonne combinaison

Dieu est le premier élément de la bonne combinaison pour comprendre l’histoire. Vous pouvez le rejeter ! Mais, sans lui en premier, comme il en est pour le 1er chiffre d’un code, impossible d’aller plus loin. Le monde, l’existence de l’univers, de l’ordre, de la génétique, de la conscience, de l’amour ne peuvent s’expliquer sans Dieu. Nier Dieu, c’est nier la vie, le bon sens. Sans lui, en premier, la suite ne peut être qu’erreur d’interprétation.

La Bible, le livre de Dieu, est le second élément ! Elle en donne les preuves. Aucun autre livre ne peut lui être comparée. Ecrite en 15 siècles de temps par 40 auteurs différents, la Bible a survécu à tout. Aucun autre livre n’est plus authentifié que lui. Aucun n’a exercé autant d’influence. Aucun n’a été autant aimé et haï, combattu et servi. Aucun n’a véhiculé plus d’espoir, ni changé autant de vies. Rejetez la Bible : vous serez privé de la principale source de lumière pour comprendre l’histoire, votre histoire.

La foi en Dieu et dans ce que dit la Bible est le troisième élément. La foi n’est pas un suicide intellectuel. C’est une réponse du cœur et de l’esprit à ce qu’ils savent être vrais, certains. Croire en Dieu et en la Bible n’est pas plus difficile… que de faire confiance à votre facteur lorsque vous postez votre courrier. Aucun de vous ne suit la lettre qu’il envoie jusqu’à son destinataire. La Poste vous semble suffisamment fiable pour lui faire confiance. Plus vous lisez la Bible, plus sa fiabilité vous paraît certaine. La foi, alors, n’est plus effort, mais logique.

La clé de l’histoire

Les trois éléments de la combinaison mis dans le bon ordre, il ne reste plus qu’à trouver la clé. Cette clé est unique. Elle est la seule par laquelle le sens de l’histoire peut être compris. Elle en est d’ailleurs à la fois le pivot et le centre. Cette clé est un homme. Il porte, dit la Bible, le seul nom par lequel les hommes puissent être sauvés. Cet homme est Jésus-Christ.

Comme la Bible, Jésus-Christ porte en lui-même toutes les évidences de l’exception. Lui seul, dans l’histoire, a été annoncé avant sa venue. Lui seul, dans l’histoire, est né d’une vierge. Lui seul, dans l’histoire, a fait les prodiges qu’il a fait. La mort de lui seul dans l’histoire a été suivie de la résurrection. Il est lui seul le Fils de Dieu.

Fils de Dieu, Jésus-Christ est la clé de l’histoire. Par Lui, s’explique, se comprend le problème véritable de l’humanité. Le malheur de l’homme est d’être coupé de Dieu. Par Jésus-Christ, Dieu offre le moyen de la réconciliation. Devenu homme, le Fils de Dieu meurt pour payer la dette de tous face à Dieu. Par lui, la main de Dieu en vue de la paix nous est tendue. A chacun, cependant, de décider de ce qu’il fait de cette offre !

Notre temps à la lumière de l’histoire

Vingt siècles se sont écoulés depuis la venue de Jésus. Vingt siècles d’appel, de patience pour Dieu. Vingt siècles au cours desquels la bonne nouvelle de Jésus-Christ a fini par atteindre le monde entier. Le temps de la patience de Dieu arrive à son terme. L’heure pour les hommes de rendre compte de leurs actes sonne. Jésus-Christ revient, non pour sauver, mais pour juger le monde. Les signes avant-coureurs de sa venue, annoncés par la Bible, s’étalent sous nos yeux : tremblements de terre, épidémies, conflits mondiaux, rejet de Dieu et de sa loi, angoisse dans le monde… Lisez la Bible : les annonces ne laissent aucun doute. Telles les douleurs pour la femme, toujours plus fortes et rapides avant l’accouchement, les craquements de la fin du monde ancien préludent de la venue d’un nouveau. Jésus-Christ en sera le centre et le chef ! En serez-vous ?




Que sert-il à un homme de gagner le monde entier s'il perd son âme : Jésus

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